Les joueurs d’Al-Ahly tentent de s'enfuir alors que le chaos éclate dans le stade de football à Port-Saïd, en Egypte, le 1er février 2012. REUTERS/Stringer
De plus en plus d’observateurs pensent que les actes de violence à la fin du match pourraient avoir été prémédités. L’agression contre l’équipe et les supporters d’Al-Ahly a eu lieu alors que l’équipe d’Al-Masri avait gagné.
Les forces de l’ordre ne sont absolument pas intervenues. Selon de nombreux témoignages, la police aurait même ouvert les entrées du stade avant la fin du match et laissé entrer des centaines de personnes sans les fouiller.
De nombreuses victimes ont été agressées à coups de couteau et parfois même avec des machettes. Une succession d’événements qui ont poussé les supporters de l’équipe la plus populaire d’Egypte à accuser le Conseil suprême de l’armée d’avoir planifié l’agression.
Les supporters d’Al-Ahly ont participé au soulèvement qui a renversé le président Moubarak et à toutes les récentes manifestations exigeant le départ du pouvoir militaire. Une colère qui met la pression sur le Parlement.
Les députés libéraux et de gauche réclament déjà la démission du gouvernement alors que la majorité islamiste est plus réservée.
Source: RFI
Les forces de l’ordre ne sont absolument pas intervenues. Selon de nombreux témoignages, la police aurait même ouvert les entrées du stade avant la fin du match et laissé entrer des centaines de personnes sans les fouiller.
De nombreuses victimes ont été agressées à coups de couteau et parfois même avec des machettes. Une succession d’événements qui ont poussé les supporters de l’équipe la plus populaire d’Egypte à accuser le Conseil suprême de l’armée d’avoir planifié l’agression.
Les supporters d’Al-Ahly ont participé au soulèvement qui a renversé le président Moubarak et à toutes les récentes manifestations exigeant le départ du pouvoir militaire. Une colère qui met la pression sur le Parlement.
Les députés libéraux et de gauche réclament déjà la démission du gouvernement alors que la majorité islamiste est plus réservée.
Source: RFI
Autres articles
-
Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique
-
Guinée: à Kindia, les citoyens espèrent le retour des libertés publiques après l'élection présidentielle
-
Mali: ouverture du sommet des chefs d’État de l'AES pour renforcer la coopération régionale
-
Centrafrique: les projets de cryptomonnaie ont surtout favorisé le crime organisé, selon un rapport
-
Congo-Brazzaville: le Premier ministre espère une levée du «travel ban» américain




Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique


