La somme des créances à rembourser d’ici l’année prochaine va atteindre 700 milliards de francs Cfa. Alors que le chef de l’Etat et son chef du gouvernement prônent une gestion au plus près des dépenses, cette information n’est pas de celles qui font vraiment plaisir. Ces 700 milliards sont constitués pour l’essentiel des créances levées sur le marché financier international et régional qui sont échues.
On sait que le régime du président Wade avait pris l’habitude de régler ses problèmes de fin de mois en levant des fonds sur le marché financier de l’Uemoa en particulier. Depuis des années, il ne se passe pas un mois sans que le gouvernement ne lance une souscription pour des emprunts obligataires, ou pour placer des bons du Trésor. Souvent, vu l’urgence de ces opérations, leurs taux d’intérêt sont des plus élevés, et les échéances excèdent rarement un ou deux ans. Les montants recherchés varient souvent entre 25 et 50 milliards de francs Cfa, selon le journal « Sud Quotidien ».
Dans leur grande majorité, ces titres de l’Etat sont cédés à des institutions comme les banques ou les compagnies d’assurance de la sous-région Uemoa. Et ces dernières ne sont pas particulièrement connues pour faire dans la philanthropie, et ne font pas de cadeau. On peut donc penser sans trop de risque de se tromper que les montants qui leur sont dus seront payés rubis sur ongle, si l’Etat veut conserver sa crédibilité, précise la même source.
On sait que le régime du président Wade avait pris l’habitude de régler ses problèmes de fin de mois en levant des fonds sur le marché financier de l’Uemoa en particulier. Depuis des années, il ne se passe pas un mois sans que le gouvernement ne lance une souscription pour des emprunts obligataires, ou pour placer des bons du Trésor. Souvent, vu l’urgence de ces opérations, leurs taux d’intérêt sont des plus élevés, et les échéances excèdent rarement un ou deux ans. Les montants recherchés varient souvent entre 25 et 50 milliards de francs Cfa, selon le journal « Sud Quotidien ».
Dans leur grande majorité, ces titres de l’Etat sont cédés à des institutions comme les banques ou les compagnies d’assurance de la sous-région Uemoa. Et ces dernières ne sont pas particulièrement connues pour faire dans la philanthropie, et ne font pas de cadeau. On peut donc penser sans trop de risque de se tromper que les montants qui leur sont dus seront payés rubis sur ongle, si l’Etat veut conserver sa crédibilité, précise la même source.
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