Abdelaziz Belkhadem, le 6 mai 2012. REUTERS/Louafi Larbi
Ils étaient plus de 300, réunis sous un chapiteau, venus célébrer la victoire du FLN aux élections législatives. Eux, ce sont les nouveaux élus. Tous accordent leur soutien au secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem.
Ici, la fronde des redresseurs n’inquiète pas vraiment : « Non, ce n’est pas tout le monde qui conteste, relate une participante. Ce sont les gens qui n’ont pas été dans les listes. On est majoritaires. Ils sont minoritaires. Donc, ils ne vont pas déranger le FLN ».
Certains admettent pourtant qu’il existe plusieurs courants au sein du parti présidentiel algérien. Mais pour Amar Tou, l’actuel ministre des Transports (élu député à Sidi Bel Abbès), « ces frictions, ces dissensions, ont toujours existé ».
Réunion des frondeurs samedi à Alger
« Je considère que ceci est une manifestation de bonne santé du parti, ajoute le ministre. Il faut savoir, peut-être, poser toutes les questions et savoir les traiter dans le cadre organique qu'est le comité central ».
Pour les détracteurs d’Abdelaziz Belkhadem, la réunion du comité politique du FLN est donc l’enjeu majeur. Si les deux tiers du comité votent une motion de défiance envers le chef du parti, il devra quitter son poste.
Mais jeudi, sous le chapiteau, personne n’envisageait cette hypothèse. Les membres contestataires du FLN se réuniront ce samedi 19 mai à Alger.
Source: RFI
Ici, la fronde des redresseurs n’inquiète pas vraiment : « Non, ce n’est pas tout le monde qui conteste, relate une participante. Ce sont les gens qui n’ont pas été dans les listes. On est majoritaires. Ils sont minoritaires. Donc, ils ne vont pas déranger le FLN ».
Certains admettent pourtant qu’il existe plusieurs courants au sein du parti présidentiel algérien. Mais pour Amar Tou, l’actuel ministre des Transports (élu député à Sidi Bel Abbès), « ces frictions, ces dissensions, ont toujours existé ».
Réunion des frondeurs samedi à Alger
« Je considère que ceci est une manifestation de bonne santé du parti, ajoute le ministre. Il faut savoir, peut-être, poser toutes les questions et savoir les traiter dans le cadre organique qu'est le comité central ».
Pour les détracteurs d’Abdelaziz Belkhadem, la réunion du comité politique du FLN est donc l’enjeu majeur. Si les deux tiers du comité votent une motion de défiance envers le chef du parti, il devra quitter son poste.
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Source: RFI
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