Au moins deux frappes aériennes ont été rapportées, ce lundi matin, par des humanitaires et des médecins de la ville. La première, en bordure de Mekele, a visé une cimenterie. La seconde, en plein cœur de la ville, a ciblé un hôtel parfois utilisé comme quartier général par les leaders des rebelles tigréens du TPLF.
Si le principal hôpital de la ville a recensé trois morts, pour l’instant, c’est surtout le symbole d’un bombardement en zone urbaine qui choque.
« C’est un mensonge total »
De son coté, Addis-Abeba s’est quelque peu emmêlé les pinceaux. « C’est un mensonge total », a d’abord déclaré un porte-parole gouvernemental. Puis dans la soirée, l’agence de presse du gouvernement a fini par reconnaitre les frappes, mais a assuré avoir visé des infrastructures de télécommunications et non des populations civiles.
À New York, les Nations unies s’inquiètent. Son secrétaire général, Antonio Guterres, a qualifié d’alarmantes les informations sur ces frappes aériennes.
Si le principal hôpital de la ville a recensé trois morts, pour l’instant, c’est surtout le symbole d’un bombardement en zone urbaine qui choque.
« C’est un mensonge total »
De son coté, Addis-Abeba s’est quelque peu emmêlé les pinceaux. « C’est un mensonge total », a d’abord déclaré un porte-parole gouvernemental. Puis dans la soirée, l’agence de presse du gouvernement a fini par reconnaitre les frappes, mais a assuré avoir visé des infrastructures de télécommunications et non des populations civiles.
À New York, les Nations unies s’inquiètent. Son secrétaire général, Antonio Guterres, a qualifié d’alarmantes les informations sur ces frappes aériennes.
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