Le décès de Mariama Coulibaly, battue à mort par son mari à Keur Massar (Taïba 2), suscite une vive indignation au sein du Réseau Siggil Jigéen. Dans un communiqué publié vendredi, le réseau dénonce ce « féminicide » et appelle l’État à agir face à la recrudescence des violences faites aux filles et aux femmes.
Selon le communiqué, Mariama Coulibaly est décédée « dans l’indifférence presque totale » et a été enterrée « loin de ses proches, loin de la justice ». Son décès s’ajoute à une liste croissante de femmes victimes de violences conjugales, dont Mariama Ba (tuée par son mari à Koupentoum, Kaffrine), Fatou Guèye (étranglée par son époux à Joal, mai 2025) et Marie-Louise Ndour (abattue devant ses enfants à Fatick).
Le Réseau Siggil Jigéen exige « l’arrestation immédiate de l’auteur présumé en cavale » et la tenue d’un procès exemplaire. Il appelle également à la mise en place urgente de mécanismes de prévention, de protection et de prise en charge des victimes, ainsi qu’à « l’adoption de lois claires, dissuasives et appliquées contre les féminicides et toutes les violences basées sur le genre ».
Le réseau insiste sur la responsabilité collective de la société sénégalaise : « brisons le silence, refusons l’indifférence, mettons fin à l’impunité ». Pour le Réseau Siggil Jigéen, « le féminicide n’est pas un fait divers, il est le symptôme d’un système profondément injuste et patriarcal », et il réaffirme son engagement « aux côtés de toutes celles qui refusent la peur, l’humiliation et la violence ».
Selon le communiqué, Mariama Coulibaly est décédée « dans l’indifférence presque totale » et a été enterrée « loin de ses proches, loin de la justice ». Son décès s’ajoute à une liste croissante de femmes victimes de violences conjugales, dont Mariama Ba (tuée par son mari à Koupentoum, Kaffrine), Fatou Guèye (étranglée par son époux à Joal, mai 2025) et Marie-Louise Ndour (abattue devant ses enfants à Fatick).
Le Réseau Siggil Jigéen exige « l’arrestation immédiate de l’auteur présumé en cavale » et la tenue d’un procès exemplaire. Il appelle également à la mise en place urgente de mécanismes de prévention, de protection et de prise en charge des victimes, ainsi qu’à « l’adoption de lois claires, dissuasives et appliquées contre les féminicides et toutes les violences basées sur le genre ».
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