Le récidiviste, déjà condamné à deux mois de prison ferme pour les mêmes faits de menaces de mort sur ses parents, a comparu encore avant-hier à l’audience des flagrants délits du Tgi de Dakar.
A la barre, le prévenu a reconnu les faits qui lui sont reprochés, qu’il explique par son état d’ébriété. « Tu n’as pas honte à ton âge de demander de l’argent à ta mère ! Bien que votre travail soit à l’arrêt à cause du coronavirus, tu ne dois pas déranger la quiétude de tes parents. il faut travailler dans les chantiers qui ne sont pas à l’arrêt pour ne plus demander de l’argent à ta mère », a sermonné le juge au prévenu ivrogne, perturbateur de la maison. « J’ai pris la télécommande et j’ai zappé la chaîne que regardait ma sœur. J’ai emprunté 5000 francs à ma mère car étant en chômage à cause du coronavirus. Ma sœur a appelé le commissaire de police qui est venu m’appréhender, mais je n’ai pas menacé ma mère », s’est défendu le prévenu Alassane Dieng Bousso.
A en croire la mère, son fils ne l’a pas menacée de mort. Et pour que ces faits ne se reproduisent plus, elle va désormais veiller à l’éducation de son fils perturbateur. Ceci, en l’envoyant dans une école coranique. A signaler que c’est la deuxième fois que le prévenu fait face aux juges pour les mêmes faits. « Comme ta mère ne veut pas que tu boives dans la maison, il ne faut pas le faire », a conseillé le juge. Le parquet a requis l’application de la loi pénale. Rendant son délibéré, le tribunal a relaxé le prévenu des faits qui lui avaient valu sa comparution.
A la barre, le prévenu a reconnu les faits qui lui sont reprochés, qu’il explique par son état d’ébriété. « Tu n’as pas honte à ton âge de demander de l’argent à ta mère ! Bien que votre travail soit à l’arrêt à cause du coronavirus, tu ne dois pas déranger la quiétude de tes parents. il faut travailler dans les chantiers qui ne sont pas à l’arrêt pour ne plus demander de l’argent à ta mère », a sermonné le juge au prévenu ivrogne, perturbateur de la maison. « J’ai pris la télécommande et j’ai zappé la chaîne que regardait ma sœur. J’ai emprunté 5000 francs à ma mère car étant en chômage à cause du coronavirus. Ma sœur a appelé le commissaire de police qui est venu m’appréhender, mais je n’ai pas menacé ma mère », s’est défendu le prévenu Alassane Dieng Bousso.
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