Trois attaques terroristes en à peine un mois, une deuxième vague de Covid-19 incontrôlable, des Français reconfinés... L'exécutif navigue de crises en crises, balloté entre deux tempêtes, l'une sécuritaire et l'autre sanitaire.
Entre coronavirus et terrorisme, Emmanuel Macron n'a plus la main sur son calendrier. Le chef de l'État est obligé de rebondir en permanence face à une situation imprévisible. Une urgence en remplace une autre, le choc du reconfinement étant suivi quelques heures plus tard d'une nouvelle attaque terroriste.
Nouvelles mesures promises contre l'islamisme
Les stratégies de communication sont balayées en quelques heures. Le débat au Parlement sur le reconfinement a par exemple été torpillé par l'attentat de Nice. Et la pression est de plus en plus forte sur le sommet de l’État.
Deux semaines après l'assassinat de Samuel Paty, Emmanuel Macron promet de nouvelles mesures. Le président doit accélérer, sur le délit de séparatisme ou sur la haine sur Internet, au risque d'alimenter les procès en impuissance. « On en fait plus en dix jours que ceux qui veulent changer la Constitution », se rassure - comme il peut - un cadre de la République en Marche.
Entre coronavirus et terrorisme, Emmanuel Macron n'a plus la main sur son calendrier. Le chef de l'État est obligé de rebondir en permanence face à une situation imprévisible. Une urgence en remplace une autre, le choc du reconfinement étant suivi quelques heures plus tard d'une nouvelle attaque terroriste.
Nouvelles mesures promises contre l'islamisme
Les stratégies de communication sont balayées en quelques heures. Le débat au Parlement sur le reconfinement a par exemple été torpillé par l'attentat de Nice. Et la pression est de plus en plus forte sur le sommet de l’État.
Deux semaines après l'assassinat de Samuel Paty, Emmanuel Macron promet de nouvelles mesures. Le président doit accélérer, sur le délit de séparatisme ou sur la haine sur Internet, au risque d'alimenter les procès en impuissance. « On en fait plus en dix jours que ceux qui veulent changer la Constitution », se rassure - comme il peut - un cadre de la République en Marche.
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