![Au procès Trump, son ex-avocat reconnaît avoir menti pour lui Au procès Trump, son ex-avocat reconnaît avoir menti pour lui](https://www.pressafrik.com/photo/art/default/80236347-57950933.jpg?v=1715615093)
L'ex-avocat de Donald Trump, Michael Cohen, a affirmé lundi avoir menti et intimidé pour le compte de l'ancien président des États-Unis, dans un face-à-face tendu au procès pour paiements dissimulés à une star du X.
Appelé à la barre, Michael Cohen, 57 ans, est interrogé par une procureure pour savoir s'il a déjà « menti » et « intimidé » des gens, le témoin a répondu par deux fois clairement « oui ». « C'est ce qui devait être fait pour accomplir les tâches », a dit sous serment l'ancien avocat.
C'est lui, surnommé le « pitbull » de Donald Trump, qui a versé 130.000 dollars à l'actrice pour acheter son silence sur cette relation sexuelle, à la fin de la campagne présidentielle en 2016. Selon l'accusation, quand Michael Cohen a été remboursé en 2017 par le président américain de l'époque, ces dépenses ont été maquillées en « frais juridiques » dans les comptes de la holding Trump Organization, pour cacher que l'argent avait servi à étouffer un scandale. Le candidat des républicains pour la Maison-Blanche risque la première condamnation pénale d'un ancien président dans l'histoire des États-Unis.
Appelé à la barre, Michael Cohen, 57 ans, est interrogé par une procureure pour savoir s'il a déjà « menti » et « intimidé » des gens, le témoin a répondu par deux fois clairement « oui ». « C'est ce qui devait être fait pour accomplir les tâches », a dit sous serment l'ancien avocat.
C'est lui, surnommé le « pitbull » de Donald Trump, qui a versé 130.000 dollars à l'actrice pour acheter son silence sur cette relation sexuelle, à la fin de la campagne présidentielle en 2016. Selon l'accusation, quand Michael Cohen a été remboursé en 2017 par le président américain de l'époque, ces dépenses ont été maquillées en « frais juridiques » dans les comptes de la holding Trump Organization, pour cacher que l'argent avait servi à étouffer un scandale. Le candidat des républicains pour la Maison-Blanche risque la première condamnation pénale d'un ancien président dans l'histoire des États-Unis.
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