« La condamnation est lourde, s'agissant d'un dossier qui est creux comme un radis. S'agissant de l'instigation de coups et blessures volontaires, il a été mis hors de cause par les personnes qui ont frappé le plaignant [...]. Le deuxième chef d'accusations, c'est détention illégale d'armes à feu. Là encore [...], il est apparu que le fusil qui a été présenté à mon client ne correspondait pas à celui que nous avions eu durant le procès, ce qui signifie que l'élément matériel de l'infraction n'existe pas. Bertrand Zibi aurait dû être relaxé parce qu'aucun délit n'est constitué. »
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