La police gambienne a ouvert des enquêtes sur plus de trente (30) cas de disparitions durant les 22 ans de présidence de Yaya Jammeh parti en exil en Guinée Equatoriale depuis janvier. «Trente-trois dossiers ont été constitués» à ce stade sur les disparitions de l’ancien régime, dont le nombre est inconnu, a déclaré un responsable de la police.
Sur ces dossiers, «nous avons environs sept (7) cas dans lesquels nous avons beaucoup avancé jusqu’à présent», a ajouté cette source, indiquant s’attendre à ce que d’autres cas soient découverts. Avant de poursuivre dans "Libération": «A ce jour, dix (10) personnes sont en détention en lien avec ces disparitions forcées, incluant des membres des ‘’Junglers’’, une unité considérée comme les escadrons de la mort du régime de Jammeh».
L’actuel président gambien, Adama Barrow, a annoncé en février la création d’une commission d’enquête sur les disparitions durant le régime de son prédécesseur, qui a dirigé pendant 22 ans sans partage et est accusé de nombreuses violations de droits de l’homme par des ONG, des diplomates et nombreux Gambiens.
Plusieurs corps ont été déjà retrouvés ainsi cette année, dont celui d’un responsable de l’opposition à Jammeh, Solo Sandeng, mort en détention en avril 2016.
Sur ces dossiers, «nous avons environs sept (7) cas dans lesquels nous avons beaucoup avancé jusqu’à présent», a ajouté cette source, indiquant s’attendre à ce que d’autres cas soient découverts. Avant de poursuivre dans "Libération": «A ce jour, dix (10) personnes sont en détention en lien avec ces disparitions forcées, incluant des membres des ‘’Junglers’’, une unité considérée comme les escadrons de la mort du régime de Jammeh».
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