
Le Premier ministre Ousmane Sonko a présidé, ce lundi 23 décembre, la finale de la première édition du concours Gov'Athon, tenue au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD) à Diamniadio. Dans son discours, il a plaidé pour un assainissement en profondeur de l'Administration sénégalaise, qu'il juge confrontée à de nombreux défis.
« Le plus grand combat pour les prochains mois et les prochaines années est celui de l’assainissement de notre Administration qui souffre de beaucoup de maux. Il faut que l'Administration redevienne un outil au service du citoyen», a déclaré le Premier ministre.
Ousmane Sonko s’est également prononcé à propos des choix de recourir à des prestataires étrangers pour la réalisation de logiciels, au détriment des solutions proposées par les entreprises sénégalaises.
« Le choix de recourir à des prestataires étrangères d’Amérique du Nord qui coûtait certainement dix fois plus cher et dont nous n’avions même pas les clés et qui nous coûtaient d’avenant à avenant beaucoup plus d’argent encore, il fallait à chaque fois payer quelques milliards de plus », a-t-il expliqué.
Ousmane Sonko a souligné que ces choix illustrent des décisions mal avisées, qui ne favorisent pas l'émergence des entreprises sénégalaises.
« C’est l’exemple typique des mauvais choix qui ne découlent pas d’une rationalité qui intègre l’encouragement que l’Etat doit apporter à la recherche locale, nationale et l’éclosion des petites structures qui vont aller à la conquête du continent et du monde », a dit le Premier ministre.
« Le plus grand combat pour les prochains mois et les prochaines années est celui de l’assainissement de notre Administration qui souffre de beaucoup de maux. Il faut que l'Administration redevienne un outil au service du citoyen», a déclaré le Premier ministre.
Ousmane Sonko s’est également prononcé à propos des choix de recourir à des prestataires étrangers pour la réalisation de logiciels, au détriment des solutions proposées par les entreprises sénégalaises.
« Le choix de recourir à des prestataires étrangères d’Amérique du Nord qui coûtait certainement dix fois plus cher et dont nous n’avions même pas les clés et qui nous coûtaient d’avenant à avenant beaucoup plus d’argent encore, il fallait à chaque fois payer quelques milliards de plus », a-t-il expliqué.
Ousmane Sonko a souligné que ces choix illustrent des décisions mal avisées, qui ne favorisent pas l'émergence des entreprises sénégalaises.
« C’est l’exemple typique des mauvais choix qui ne découlent pas d’une rationalité qui intègre l’encouragement que l’Etat doit apporter à la recherche locale, nationale et l’éclosion des petites structures qui vont aller à la conquête du continent et du monde », a dit le Premier ministre.
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