«Que les grâces de miséricorde et de pardon soient déversées sur le Sénégal car le pays en a bien besoin, parce qu’aujourd’hui il est en danger», a d’emblée déclaré Idrissa Seck hier, lors de sa conférence de presse. Cette rencontre, organisée pour se prononcer sur les conditions de la libération de Karim Wade a été converti en autel pour le Président Macky Sall et son régime, ainsi que pour le fils de l’ancien président de la République.
Poursuivant ses diatribes, l’ex maire de Thiès reproche au chef de l’Etat, d’avoir ajouté de l’indignité à son palmarès, en plus du «déshonneur et de son incompétence». Car, accuse-t-il le locataire du Palais de la République, il a transformé le Sénégal en république vassal, recevant ses ordres de puissances étrangères.
Très remonté contre le président de l’Alliance pour la république (Apr), le président du Conseil départemental de Thiès met un terme à toute espérance de le voir participer au dialogue national et vitupère : «Le Sénégal de Macky Sall s’enfonce, se détruit. Tant qu’il ne sera pas digne de me voir à sa table du fait de sa conduite actuelle, ce n’est pas la peine qu’il m’invite au dialogue».
Quant à Karim Wade, le chef de file des «oranges» se veut catégorique sur sa culpabilité : «je n’ai aucun doute sur la culpabilité de Karim Wade. Aucun. Tout ce que je vous dis est documenté. J’ai 25 ans de carrière d’auditeur dans les firmes mondiales les plus réputées. Je ne dis jamais rien qui ne soit documenté»
Poursuivant ses diatribes, l’ex maire de Thiès reproche au chef de l’Etat, d’avoir ajouté de l’indignité à son palmarès, en plus du «déshonneur et de son incompétence». Car, accuse-t-il le locataire du Palais de la République, il a transformé le Sénégal en république vassal, recevant ses ordres de puissances étrangères.
Très remonté contre le président de l’Alliance pour la république (Apr), le président du Conseil départemental de Thiès met un terme à toute espérance de le voir participer au dialogue national et vitupère : «Le Sénégal de Macky Sall s’enfonce, se détruit. Tant qu’il ne sera pas digne de me voir à sa table du fait de sa conduite actuelle, ce n’est pas la peine qu’il m’invite au dialogue».
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