«La structure des secteurs d’activités montre que les élèves et étudiants sont les plus représentés au Magal. Près de 30% des pèlerins sont représentés par les élèves et étudiants. Ce résultats est en conformité avec la structure des âges, marquée par une surreprésentation des jeunes, révèle l’étude sur l’impact économique du Grand Magal de Touba (GMT).
Ce document parcouru par l’APS indique aussi que «les travailleurs du secteur informel sont très représentés avec 23,68% des pèlerins » ; «ceux du secteur public et privé représentent ensemble 14% des pèlerins».
Ce document parcouru par l’APS indique aussi que «les travailleurs du secteur informel sont très représentés avec 23,68% des pèlerins » ; «ceux du secteur public et privé représentent ensemble 14% des pèlerins».
Concernant le niveau d’étude des pèlerins, le document préfacé par le recteur de l’Université Alioune Diop de Bambey annonce qu’«au moins 90% des pèlerins sont instruits et 70% d’entre eux ont déjà fréquenté une école française. Il y a une forte représentativité de la population ayant le niveau d’étude secondaire».
Et d’ajouter : «En effet, 31,29% des pèlerins enquêtés ont déjà fréquenté un établissement d’enseignement secondaire, 20,38% ont un niveau de l’élémentaire. Ce taux constitue une légère baisse par rapport à 2011 (23%)", précise le document. Celui-ci fait observer "une baisse de la population de pèlerins ayant juste fréquenté des Daaras, passant de 25% en 2011 à 14% en 2016».
Le rapport de conclure : «Nous observons par contre une hausse des individus ayant suivi leur formation en arabe (3% en 2011 à 5% en 2016). La proportion de pèlerins ayant fait des études universitaires est assez forte avec 19%. Ce résultat est en conformité avec la faible représentation des pèlerins n’ayant aucun niveau d’instruction (10%)».
Et d’ajouter : «En effet, 31,29% des pèlerins enquêtés ont déjà fréquenté un établissement d’enseignement secondaire, 20,38% ont un niveau de l’élémentaire. Ce taux constitue une légère baisse par rapport à 2011 (23%)", précise le document. Celui-ci fait observer "une baisse de la population de pèlerins ayant juste fréquenté des Daaras, passant de 25% en 2011 à 14% en 2016».
Le rapport de conclure : «Nous observons par contre une hausse des individus ayant suivi leur formation en arabe (3% en 2011 à 5% en 2016). La proportion de pèlerins ayant fait des études universitaires est assez forte avec 19%. Ce résultat est en conformité avec la faible représentation des pèlerins n’ayant aucun niveau d’instruction (10%)».
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