Plusieurs syndicats de transporteurs ont décrété une grève illimitée pour protester contre les 22 mesures prises par le gouvernement après l’accident de Sikilo (Kaffrine), qui a fait 42 morts et 98 blessés. Mais le mouvement qui démarre ce mardi, n’a pas été suivi par tous les syndicats. En effet, neuf (9) d’entre eux regroupés au sein du Cadre unitaire des transporteurs routiers du Sénégal, ont soutenu qu’ils ne suivront pas le mot d’ordre.
Pour justifier leur décision de boycotter cette grève qui doit être effective ce mardi 17 janvier, les responsables syndicaux concernés ont donné deux raisons. A savoir : le deuil qui frappe le pays avec l’accident de Sikilo et les concessions du gouvernement sur les 22 mesures adoptées. « Nous ne pouvons engager un bras de fer avec l’État alors que les Sénégalais sont en deuil. Nous pensons que cela est anormal», a déclaré El Hadji Ousseynou Karamba Goudiaby, le coordonnateur des syndicats sur les ondes de Wal fadjri.
De son coté, le secrétaire général du Cadre unitaire des transporteurs routiers du Sénégal, Fallou Samb, a soutenu que même s’ils ont décidé de mettre en circulation leurs véhicules, ils craignent des représailles de la part des grévistes. Ainsi, M. Samb a lancé un appel à l’État. « Nous exigeons que l’État assure la sécurité de tous les services qui circuleront ce jour. Nous ne laisserons personne nus intimider. Ceux qui veulent aller en grève peuvent bien le faire, mais qu’ils laissent la liberté aux autres de circuler tranquillement », a-t-il martelé
Pour justifier leur décision de boycotter cette grève qui doit être effective ce mardi 17 janvier, les responsables syndicaux concernés ont donné deux raisons. A savoir : le deuil qui frappe le pays avec l’accident de Sikilo et les concessions du gouvernement sur les 22 mesures adoptées. « Nous ne pouvons engager un bras de fer avec l’État alors que les Sénégalais sont en deuil. Nous pensons que cela est anormal», a déclaré El Hadji Ousseynou Karamba Goudiaby, le coordonnateur des syndicats sur les ondes de Wal fadjri.
De son coté, le secrétaire général du Cadre unitaire des transporteurs routiers du Sénégal, Fallou Samb, a soutenu que même s’ils ont décidé de mettre en circulation leurs véhicules, ils craignent des représailles de la part des grévistes. Ainsi, M. Samb a lancé un appel à l’État. « Nous exigeons que l’État assure la sécurité de tous les services qui circuleront ce jour. Nous ne laisserons personne nus intimider. Ceux qui veulent aller en grève peuvent bien le faire, mais qu’ils laissent la liberté aux autres de circuler tranquillement », a-t-il martelé
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