Alors que leurs collègues sont en réunion avec le ministre de l’Enseignement primaire et secondaire, plusieurs dizaines d’autres enseignants mettent la pression à l’entrée du bâtiment. Ils chantent et crient. Ils soupçonnent certaines autorités d’augmenter les effectifs des enseignants nouvellement mécanisés. Ils ne sont pas convaincus par les chiffes de 144 000 brandis par le ministre Willy Bakonga. Parmi les 144 000 il y a des enseignants fictifs, selon eux, aussi demandent-ils un audit.
Les enseignants veulent également que soient appliquées les augmentations salariales attendues depuis avril pour le 2e palier selon le calendrier fixé avec le gouvernement. Au sortir de la réunion avec le ministre, les enseignants disent avoir compris que la solution à leur problème ne viendra pas du ministère de l’enseignement primaire et secondaire.
« Nous avons compris qu'il est nécessaire de focaliser notre attention sur le vice-Premier ministre, en charge du Budget et le Premier ministre et le chef de l'Etat ! », lance Cécile Tshiyombo, secrétaire générale du Syndicat des enseignants du Congo.
Et pour les syndicats, sans compromis, il n’y aura pas de reprise des cours. « Que le gouvernement convoque une commission paritaire avant le 10 (août) ! Nous sommes habitués à négocier même le dimanche », ajoute Cécile Tshiyombo. La question sera discutée ce vendredi au cours de la réunion du conseil des ministres.
Les enseignants veulent également que soient appliquées les augmentations salariales attendues depuis avril pour le 2e palier selon le calendrier fixé avec le gouvernement. Au sortir de la réunion avec le ministre, les enseignants disent avoir compris que la solution à leur problème ne viendra pas du ministère de l’enseignement primaire et secondaire.
« Nous avons compris qu'il est nécessaire de focaliser notre attention sur le vice-Premier ministre, en charge du Budget et le Premier ministre et le chef de l'Etat ! », lance Cécile Tshiyombo, secrétaire générale du Syndicat des enseignants du Congo.
Et pour les syndicats, sans compromis, il n’y aura pas de reprise des cours. « Que le gouvernement convoque une commission paritaire avant le 10 (août) ! Nous sommes habitués à négocier même le dimanche », ajoute Cécile Tshiyombo. La question sera discutée ce vendredi au cours de la réunion du conseil des ministres.
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