■ L’armée israélienne a affirmé dimanche avoir découvert sous l’hôpital al-Chifa, dans la ville de Gaza, un tunnel utilisé selon elle « pour du terrorisme ». L’armée a également publié des images présentées comme venant des caméras de surveillance de l’hôpital montrant, selon elle, des otages enlevés le 7 octobre. Dimanche, le directeur des hôpitaux de Gaza a annoncé l'extraction vers l'Égypte de 31 bébés prématurés de l'hôpital, quasi déserté après l'évacuation la veille de centaines personnes.
■ Le président français s’est inquiété auprès de Benyamin Nétanyahou des « trop nombreuses pertes civiles » à Gaza. Plus tôt, Emmanuel Macron avait annoncé que la France était prête à accueillir des enfants blessés dans ses hôpitaux « si cela est utile et nécessaire ».
■ Il ne reste que des obstacles « mineurs » avant un accord sur les otages, affirme le Qatar. La conclusion d'un accord sur la libération des otages enlevés par le Hamas repose désormais sur des questions pratiques « mineures », a affirmé dimanche le Premier ministre qatarien, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, sans toutefois fournir de calendrier.
■ Le bilan des bombardements israéliens dans la bande de Gaza a atteint les 13 000 morts depuis le début de la guerre le 7 octobre, dont 5 500 enfants, selon le ministère de la santé du Hamas, au pouvoir dans l'enclave palestinienne. Depuis cette date, plus de 1 200 Israéliens ont été tués. L'armée israélienne fait état de 239 personnes retenues en otage par le mouvement islamiste palestinien.
L'Iran rejette les accusations d'Israël sur le cargo capturé par les Houthis
L'Iran a rejeté les accusations d'Israël lui faisant porter la responsabilité de la capture d'un cargo par les rebelles Houthis du Yémen en représailles à la guerre menée contre le Hamas dans la bande de Gaza. « Nous avons sans cesse annoncé que les groupes de résistance dans la région représentent leur pays et qu'ils prennent leurs décisions et agissent sur la base des intérêts de leur pays », a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Nasser Kanani, au cours d'une conférence de presse. Il réagissait aux propos du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui a condamné « fermement l'attaque iranienne contre un navire international » ce dimanche 19 novembre en mer Rouge. « De telles accusations sont invalides », a répliqué Nasser Kanani. « Le régime sioniste ne peut accepter qu'il subit une grande défaite en Palestine et veut trouver une justification (...) en accusant la République islamique d'Iran », selon lui.
Guerre Israël-Hamas: «À Gaza, les enfants ne sont en sécurité nulle part»
Selon le ministère de la Santé du mouvement islamiste du Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, 5 500 des 13 000 tués depuis le 7 octobre, sont des enfants. La situation des enfants empire de jour en jour. Le manque d'eau, de nourriture, les déplacements forcés et les bombardements quotidiens depuis le 7 octobre mettent la vie de plus d'un million de jeunes Gazaouis en danger. Éclairage.
Intenses combats autour de l'hôpital indonésien, dans le nord de Gaza
Des chars israéliens sont positionnés autour de l'hôpital indonésien dans le nord de Gaza où douze Palestiniens ont été tués et des dizaines d'autres blessés, a déclaré le ministère de la Santé du Hamas lundi.
L'armée israélienne n'a pas confirmé dans l'immédiat les informations en provenance de l'hôpital indonésien, mais l'agence de presse palestinienne WAFA a déclaré que l'établissement avait été touché par des tirs d'artillerie.
Comme de nombreux autres établissements de santé dans la bande de Gaza, l'hôpital indonésien, créé en 2016 grâce au financement d'organisations indonésiennes, a cessé ses activités. Mais le porte-parole du ministère de la Santé, Ashraf Al-Qidreh, a déclaré qu'il y avait environ 700 personnes, y compris les équipes médicales et les blessés, à l'intérieur de l'établissement.
L’OMS prépare l’évacuation des 291 derniers patients d’al-Chifa, après l'extraction des prématurés
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) prépare l'évacuation vers d'autres hôpitaux de Gaza des 291 patients restants, incapables de se déplacer sans assistance médicale.
Plus de 30 bébés prématurés ont été évacués dimanche de l'hôpital al-Chifa vers Rafah, pour recevoir « des soins urgents dans l'unité de soins intensifs néonatals », a indiqué le patron de l’organisation onusienne, Tedros Adhanom Ghebreyesus. « Ces bébés ont beaucoup souffert » et ont subi des « séquelles importantes », a expliqué à la presse le directeur général des hôpitaux de la bande de Gaza, Mohammed Zaqout, indiquant que huit bébés étaient morts par manque de soins avant leur transfert dont deux dimanche matin.
Samedi, le chef de l'OMS avait décrit l'hôpital al-Chifa comme une « zone de mort » où la situation était « désespérée » en raison du manque d'eau, d'électricité, de médicaments, de nourriture et de matériel médical.
Le ministère de la Santé de Gaza annonce douze morts dans des frappes sur un hôpital de Gaza
Au moins « douze patients et leurs proches » ont été tués et « des dizaines blessés » dans une frappe israélienne sur l’hôpital indonésien au nord de la ville de Gaza, a annoncé, lundi, Ashraf Al-Qidreh, porte-parole du ministère de la Santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas. « L’armée israélienne assiège l’hôpital indonésien et nous redoutons qu’il s’y passe la même chose qu’à al-Chifa », récemment évacué, a ajouté le docteur Qidreh. Plus tôt, l’agence de presse palestinienne Wafa avait fait état d’au moins huit morts.
« Il y a environ 700 malades et soignants dans l'hôpital indonésien » situé en bordure du camp de réfugiés de Jabaliya, a-t-il poursuivi. Et « les équipes soignantes sont décidées à rester aux côtés de leurs patients ».
Le Hamas ne cesse de répéter que l'armée israélienne mène « une guerre contre les hôpitaux » alors qu'Israël accuse le mouvement islamiste de se servir de ces établissements à des fins militaires.
Les Houthis affirment s'être emparés du cargo d'un homme d'affaires israélien
■ Le président français s’est inquiété auprès de Benyamin Nétanyahou des « trop nombreuses pertes civiles » à Gaza. Plus tôt, Emmanuel Macron avait annoncé que la France était prête à accueillir des enfants blessés dans ses hôpitaux « si cela est utile et nécessaire ».
■ Il ne reste que des obstacles « mineurs » avant un accord sur les otages, affirme le Qatar. La conclusion d'un accord sur la libération des otages enlevés par le Hamas repose désormais sur des questions pratiques « mineures », a affirmé dimanche le Premier ministre qatarien, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, sans toutefois fournir de calendrier.
■ Le bilan des bombardements israéliens dans la bande de Gaza a atteint les 13 000 morts depuis le début de la guerre le 7 octobre, dont 5 500 enfants, selon le ministère de la santé du Hamas, au pouvoir dans l'enclave palestinienne. Depuis cette date, plus de 1 200 Israéliens ont été tués. L'armée israélienne fait état de 239 personnes retenues en otage par le mouvement islamiste palestinien.
L'Iran rejette les accusations d'Israël sur le cargo capturé par les Houthis
L'Iran a rejeté les accusations d'Israël lui faisant porter la responsabilité de la capture d'un cargo par les rebelles Houthis du Yémen en représailles à la guerre menée contre le Hamas dans la bande de Gaza. « Nous avons sans cesse annoncé que les groupes de résistance dans la région représentent leur pays et qu'ils prennent leurs décisions et agissent sur la base des intérêts de leur pays », a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Nasser Kanani, au cours d'une conférence de presse. Il réagissait aux propos du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu qui a condamné « fermement l'attaque iranienne contre un navire international » ce dimanche 19 novembre en mer Rouge. « De telles accusations sont invalides », a répliqué Nasser Kanani. « Le régime sioniste ne peut accepter qu'il subit une grande défaite en Palestine et veut trouver une justification (...) en accusant la République islamique d'Iran », selon lui.
Guerre Israël-Hamas: «À Gaza, les enfants ne sont en sécurité nulle part»
Selon le ministère de la Santé du mouvement islamiste du Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, 5 500 des 13 000 tués depuis le 7 octobre, sont des enfants. La situation des enfants empire de jour en jour. Le manque d'eau, de nourriture, les déplacements forcés et les bombardements quotidiens depuis le 7 octobre mettent la vie de plus d'un million de jeunes Gazaouis en danger. Éclairage.
Intenses combats autour de l'hôpital indonésien, dans le nord de Gaza
Des chars israéliens sont positionnés autour de l'hôpital indonésien dans le nord de Gaza où douze Palestiniens ont été tués et des dizaines d'autres blessés, a déclaré le ministère de la Santé du Hamas lundi.
L'armée israélienne n'a pas confirmé dans l'immédiat les informations en provenance de l'hôpital indonésien, mais l'agence de presse palestinienne WAFA a déclaré que l'établissement avait été touché par des tirs d'artillerie.
Comme de nombreux autres établissements de santé dans la bande de Gaza, l'hôpital indonésien, créé en 2016 grâce au financement d'organisations indonésiennes, a cessé ses activités. Mais le porte-parole du ministère de la Santé, Ashraf Al-Qidreh, a déclaré qu'il y avait environ 700 personnes, y compris les équipes médicales et les blessés, à l'intérieur de l'établissement.
L’OMS prépare l’évacuation des 291 derniers patients d’al-Chifa, après l'extraction des prématurés
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) prépare l'évacuation vers d'autres hôpitaux de Gaza des 291 patients restants, incapables de se déplacer sans assistance médicale.
Plus de 30 bébés prématurés ont été évacués dimanche de l'hôpital al-Chifa vers Rafah, pour recevoir « des soins urgents dans l'unité de soins intensifs néonatals », a indiqué le patron de l’organisation onusienne, Tedros Adhanom Ghebreyesus. « Ces bébés ont beaucoup souffert » et ont subi des « séquelles importantes », a expliqué à la presse le directeur général des hôpitaux de la bande de Gaza, Mohammed Zaqout, indiquant que huit bébés étaient morts par manque de soins avant leur transfert dont deux dimanche matin.
Samedi, le chef de l'OMS avait décrit l'hôpital al-Chifa comme une « zone de mort » où la situation était « désespérée » en raison du manque d'eau, d'électricité, de médicaments, de nourriture et de matériel médical.
Le ministère de la Santé de Gaza annonce douze morts dans des frappes sur un hôpital de Gaza
Au moins « douze patients et leurs proches » ont été tués et « des dizaines blessés » dans une frappe israélienne sur l’hôpital indonésien au nord de la ville de Gaza, a annoncé, lundi, Ashraf Al-Qidreh, porte-parole du ministère de la Santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas. « L’armée israélienne assiège l’hôpital indonésien et nous redoutons qu’il s’y passe la même chose qu’à al-Chifa », récemment évacué, a ajouté le docteur Qidreh. Plus tôt, l’agence de presse palestinienne Wafa avait fait état d’au moins huit morts.
« Il y a environ 700 malades et soignants dans l'hôpital indonésien » situé en bordure du camp de réfugiés de Jabaliya, a-t-il poursuivi. Et « les équipes soignantes sont décidées à rester aux côtés de leurs patients ».
Le Hamas ne cesse de répéter que l'armée israélienne mène « une guerre contre les hôpitaux » alors qu'Israël accuse le mouvement islamiste de se servir de ces établissements à des fins militaires.
Les Houthis affirment s'être emparés du cargo d'un homme d'affaires israélien
Le Japon a déclaré lundi qu'il approchait « directement » les rebelles Houthis au Yémen après la capture ce week-end en mer Rouge d'un navire cargo avec 25 membres d'équipage, propriété d'un homme d'affaires israélien et affrété par un groupe nippon de transport maritime. « Nous communiquons avec Israël, et en plus d'approcher directement les Houthis, nous invitons instamment l'Arabie saoudite, Oman, l'Iran et d'autres pays concernés à réclamer aux Houthis que le bateau et ses membres d'équipage soient rapidement relâchés », a déclaré la ministre japonaise des Affaires étrangères Yoko Kamikawa.
Les rebelles Houthis, qui contrôlent avec le soutien de l'Iran une bonne partie du Yémen en guerre, ont affirmé dimanche s'être emparés en mer Rouge d'un navire commercial appartenant à un homme d'affaires israélien, en représailles aux bombardements sur la bande de Gaza. D'après la compagnie de sécurité maritime Ambrey et le site spécialisé dans le transport maritime TradeWinds, le cargo appartient à Ray Car Carriers, une société britannique contrôlée par l'homme d'affaires israélien Abraham Rami Ungar.
Le gouvernement japonais a aussi condamné « avec fermeté » lundi la saisie du Galaxy Leader, qui était opéré par la compagnie japonaise Nippon Yusen (NYK) et qui avant sa capture était en route pour l'Inde. Aucun ressortissant japonais n'était à bord, selon Tokyo. Selon les autorités israéliennes, l'équipage du bateau comprenait des citoyens de divers pays: des Bulgares, des Philippins, des Ukrainiens ou encore des Mexicains, mais aucun Israélien.
L’armée israélienne intensifie et étend les combats à Gaza
Les forces israéliennes « étendent » encore lundi leurs opérations contre le Hamas dans le nord de la bande de Gaza. De violents combats ont eu lieu dimanche dans le centre de la ville de Gaza avec des tirs de chars israéliens répondant à ceux des lance-roquettes des combattants palestiniens, et les frappes aériennes se sont intensifiées en soirée.
Un journaliste de l'AFP sur place a entendu une succession des bombardements aériens rapprochés et vu des colonnes de fumée s'élever au-dessus du camp de réfugiés de Jabaliya. Selon le ministère de la Santé du Hamas, 41 membres d'une même famille sont morts dans une frappe israélienne sur leur maison à Jabaliya.
Les rebelles Houthis, qui contrôlent avec le soutien de l'Iran une bonne partie du Yémen en guerre, ont affirmé dimanche s'être emparés en mer Rouge d'un navire commercial appartenant à un homme d'affaires israélien, en représailles aux bombardements sur la bande de Gaza. D'après la compagnie de sécurité maritime Ambrey et le site spécialisé dans le transport maritime TradeWinds, le cargo appartient à Ray Car Carriers, une société britannique contrôlée par l'homme d'affaires israélien Abraham Rami Ungar.
Le gouvernement japonais a aussi condamné « avec fermeté » lundi la saisie du Galaxy Leader, qui était opéré par la compagnie japonaise Nippon Yusen (NYK) et qui avant sa capture était en route pour l'Inde. Aucun ressortissant japonais n'était à bord, selon Tokyo. Selon les autorités israéliennes, l'équipage du bateau comprenait des citoyens de divers pays: des Bulgares, des Philippins, des Ukrainiens ou encore des Mexicains, mais aucun Israélien.
L’armée israélienne intensifie et étend les combats à Gaza
Les forces israéliennes « étendent » encore lundi leurs opérations contre le Hamas dans le nord de la bande de Gaza. De violents combats ont eu lieu dimanche dans le centre de la ville de Gaza avec des tirs de chars israéliens répondant à ceux des lance-roquettes des combattants palestiniens, et les frappes aériennes se sont intensifiées en soirée.
Un journaliste de l'AFP sur place a entendu une succession des bombardements aériens rapprochés et vu des colonnes de fumée s'élever au-dessus du camp de réfugiés de Jabaliya. Selon le ministère de la Santé du Hamas, 41 membres d'une même famille sont morts dans une frappe israélienne sur leur maison à Jabaliya.
L'agence palestinienne Wafa a fait état d'au moins huit morts dans une frappe dans la nuit sur l'hôpital indonésien, au nord de la ville de Gaza, alors que le Hamas faisait état de bombardements par des tanks israéliens.
L'armée israélienne a affirmé continuer « à étendre ses opérations dans de nouveaux quartiers de la bande de Gaza », notamment dans le secteur de Jabaliya. Cinq soldats ont été tués, portant à 64 le nombre de militaires tués à Gaza depuis le début de la guerre, a précisé l'armée.
La communauté internationale doit « agir d'urgence » pour mettre fin à la « catastrophe humanitaire » à Gaza
L'armée israélienne a affirmé continuer « à étendre ses opérations dans de nouveaux quartiers de la bande de Gaza », notamment dans le secteur de Jabaliya. Cinq soldats ont été tués, portant à 64 le nombre de militaires tués à Gaza depuis le début de la guerre, a précisé l'armée.
La communauté internationale doit « agir d'urgence » pour mettre fin à la « catastrophe humanitaire » à Gaza
La Chine veut œuvrer à « rétablir la paix » au Proche-Orient, a déclaré lundi le ministre des Affaires étrangères, Wang Yi, à une délégation de diplomates de pays arabes ou à la population en majorité musulmane. « Œuvrons ensemble pour calmer rapidement la situation à Gaza et rétablir la paix au Proche-Orient dès que possible », a-t-il déclaré lors de son discours d’ouverture à Pékin. « Une catastrophe humanitaire se déroule à Gaza », a déclaré M. Wang aux hauts diplomates de la délégation, dont les ministres des Affaires étrangères de l’Autorité palestinienne, de l’Indonésie, de l’Égypte, de l’Arabie saoudite et de la Jordanie.
« La situation à Gaza affecte tous les pays du monde, remettant en question la notion du bien et du mal et les principes fondamentaux de l’humanité », a-t-il ajouté. « La communauté internationale doit agir de toute urgence et prendre des mesures efficaces pour empêcher que cette tragédie ne se propage », a ajouté M. Wang.
La Chine a annoncé dimanche dernier la visite de la délégation de ministres, qui comprend également le secrétaire général de l’Organisation de la coopération islamique. Pékin a déclaré que les discussions visaient à « promouvoir une désescalade de l’actuel conflit israélo-palestinien, de protéger les civils et de résoudre équitablement la question palestinienne ».
« La Chine est un bon ami et un frère des pays arabes et musulmans », a soutenu Wang Yi. « Nous avons toujours fermement défendu les droits et les intérêts légitimes des pays arabes et musulmans, et nous avons toujours fermement soutenu les efforts du peuple palestinien pour restaurer ses droits et ses intérêts nationaux légitimes », a-t-il ajouté.
« La situation à Gaza affecte tous les pays du monde, remettant en question la notion du bien et du mal et les principes fondamentaux de l’humanité », a-t-il ajouté. « La communauté internationale doit agir de toute urgence et prendre des mesures efficaces pour empêcher que cette tragédie ne se propage », a ajouté M. Wang.
La Chine a annoncé dimanche dernier la visite de la délégation de ministres, qui comprend également le secrétaire général de l’Organisation de la coopération islamique. Pékin a déclaré que les discussions visaient à « promouvoir une désescalade de l’actuel conflit israélo-palestinien, de protéger les civils et de résoudre équitablement la question palestinienne ».
« La Chine est un bon ami et un frère des pays arabes et musulmans », a soutenu Wang Yi. « Nous avons toujours fermement défendu les droits et les intérêts légitimes des pays arabes et musulmans, et nous avons toujours fermement soutenu les efforts du peuple palestinien pour restaurer ses droits et ses intérêts nationaux légitimes », a-t-il ajouté.
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