En Guinée, le gouvernement suspend les partis politiques non-autorisés, conséquence de la campagne d’évaluation de l’ensemble des formations du pays effectuée en octobre dernier. Celles-ci doivent se mettre en règle avant la fin janvier, afin de préparer les élections à venir cette année, comme s’y est engagé le président de transition Mamadi Doumbouya lors de son discours du Nouvel An.
Dans un communiqué, le ministère de l’Administration du territoire de Guinée déplore la prolifération des partis sans autorisation administrative et exige la fin de leurs activités. Revenant sur les résultats de l’évaluation des partis politiques l’an dernier, le ministre Ibrahima Kalil Condé invite toutes les institutions et partenaires à cesser leur collaboration avec 54 partis suspendus. Ces derniers avaient 3 mois pour se mettre en règle, l’échéance étant fixée à la fin de janvier 2025.
Cette décision intervient 10 jours après le discours du Nouvel An du général Mamadi Doumbouya. Le président de transition a annoncé que 2025 sera une année électorale cruciale pour le retour à l’ordre constitutionnel, qu’il fixera bientôt la date du référendum et que les formations politiques pouvaient reprendre totalement leurs activités.
Ce 9 janvier 2025, sur RFI, le porte-parole du gouvernement, Ousmane Gaoual Diallo, a précisé que le scrutin référendaire pourrait se tenir au mois de mai.
Dans un communiqué, le ministère de l’Administration du territoire de Guinée déplore la prolifération des partis sans autorisation administrative et exige la fin de leurs activités. Revenant sur les résultats de l’évaluation des partis politiques l’an dernier, le ministre Ibrahima Kalil Condé invite toutes les institutions et partenaires à cesser leur collaboration avec 54 partis suspendus. Ces derniers avaient 3 mois pour se mettre en règle, l’échéance étant fixée à la fin de janvier 2025.
Cette décision intervient 10 jours après le discours du Nouvel An du général Mamadi Doumbouya. Le président de transition a annoncé que 2025 sera une année électorale cruciale pour le retour à l’ordre constitutionnel, qu’il fixera bientôt la date du référendum et que les formations politiques pouvaient reprendre totalement leurs activités.
Ce 9 janvier 2025, sur RFI, le porte-parole du gouvernement, Ousmane Gaoual Diallo, a précisé que le scrutin référendaire pourrait se tenir au mois de mai.
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