Le passage en force de la loi portant révision de la Constitution ne met pas fin au combat de l’opposition. C’est ce qu’a affirmé Idrissa Seck qui a passé la nuit au commissariat central de Dakar avant d’être libéré tôt ce matin.
Et selon lui, celle lutte est un devoir ne serait-ce que pour sauver la charte fondamentale du Sénégal car, indique-t-il «notre Constitution prescrit que la forme républicaine de l’Etat, le mode d’élection, la durée et le nombre de mandats du président de la République ne peuvent faire l’objet de révision, selon l’article 103 de notre Constitution».
Ne s’en arrêtant pas là, le leader de Rewmi martèle : «l’alinéa 7 du même article dit que cet article 103 lui-même, ne peut pas faire l’objet de révision. Donc ce sont là, deux violations de notre Constitution».
A l’en croire, la troisième violation, c’est celle concernant le droit à la marche que confère la Constitution».
Ces cas de violation ont fait effondrer la République étant donné qu’elle ne peut plus «recourir ni au pouvoir législatif, ni au pouvoir judiciaire qui se sont prosternés devant le pouvoir exécutif. Ce qui lui fait lancer un appel aux leaders de l’opposition et de la société civile à prendre une initiative en direction de la Cour de justice de la Cedeao pour attaquer cette loi. Avant d’ajouter qu’il donnera les modalités pratiques et l’angle d’attaque qu’il leur faudra adopter.
Et selon lui, celle lutte est un devoir ne serait-ce que pour sauver la charte fondamentale du Sénégal car, indique-t-il «notre Constitution prescrit que la forme républicaine de l’Etat, le mode d’élection, la durée et le nombre de mandats du président de la République ne peuvent faire l’objet de révision, selon l’article 103 de notre Constitution».
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