Idrissa Seck n’a pas raté le chef de l’Etat lors de la rencontre qu’il a organisée dans sa résidence du Point E, ce vendredi. En effet, le président du Rewmi, qui qualifie le chef de l’Etat de «triple violeur » de la Constitution a fait savoir qu’il portait le combat contre le vote de la loi sur le parrainage aux niveaux des instances internationales, notamment à la Cour de justice de la Cedeao.
Et pour cause, fait savoir l’ancien maire de Thiès, les institutions sénégalaises, aussi bien le pouvoir judiciaire que législatif, ont tendance à avaliser les décisions du chef de l’Etat sans pour autant tenir compte de la loi ou de l’intérêt des populations.
Après avoir développé ses arguments, le président du Conseil départemental de Thiès de se demander, si après ces constats, il va faire des recours auprès de ces mêmes instances précitées ? La réponse, à l’en croire, est naturellement non. Ce qui le motive à se rabattre au niveau de la Cedeao.
«J’estime, malgré l’existence de quelques très bons magistrats honnêtes, rigoureux, qui souffrent pour l’état de sa magistrature, force est de constater que l’institution judiciaire comme le Parlement se sont prosternés devant l’Exécutif. Du coup, ces deux pouvoir ne sont plus dignes de ma confiance», a-t-il martelé.
Et d’ajouter : «c’est pour cela que j’ai pris une initiative en direction des autres leaders politiques et de la société civile, pour leur dire soyons en bloc, allons déposer un recours auprès de la Cedeao, pas sous l’angle de la violation de la Constitution, mais sous l’angle de la rupture d’égalité des citoyens devant un certain nombre de droits… »
Et pour cause, fait savoir l’ancien maire de Thiès, les institutions sénégalaises, aussi bien le pouvoir judiciaire que législatif, ont tendance à avaliser les décisions du chef de l’Etat sans pour autant tenir compte de la loi ou de l’intérêt des populations.
Après avoir développé ses arguments, le président du Conseil départemental de Thiès de se demander, si après ces constats, il va faire des recours auprès de ces mêmes instances précitées ? La réponse, à l’en croire, est naturellement non. Ce qui le motive à se rabattre au niveau de la Cedeao.
«J’estime, malgré l’existence de quelques très bons magistrats honnêtes, rigoureux, qui souffrent pour l’état de sa magistrature, force est de constater que l’institution judiciaire comme le Parlement se sont prosternés devant l’Exécutif. Du coup, ces deux pouvoir ne sont plus dignes de ma confiance», a-t-il martelé.
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