Le troisième atelier de dissémination des rapports ITIE 2015 et 2016 été saisi par la société civile pour dénoncer la façon dont les permis d’exploitation sont délivrés. « Le rapport de 2015 révèle qu’il y a une vingtaine de permis qui a été donnée dans des conditions qui ne respecte pas les procédures. Cela est attribué à des structures de l’Etat qui sont bien préparées à cet exercice. Cela donne une idée de corruption. Et c’est pourquoi la société civile a tenu à revenir sur les procédures d’octroi de licences des permis », a déploré Ibrahima Sory Diallo.
A en croire le président du Comité national de l’ITIE (Initiative pour la transparence dans les industries extractives), cette question fait partie des défis qu’il entend relever.
« Faire en sorte que le débat public sur la question des ressources soit riche; il faut que les citoyens sachent exactement. Donc, c’est le principe de la transparence qui va être le maître-mot. Nous avons maintenant un certain nombre de défis. Nous sommes en train de travailler sur les conditions d’octroi des licences et des permis d’exploration. C’est important. Il y a un autre défi, c’est celui de la propriété réelle, savoir exactement qui est derrière ces entreprises qui interviennent dans le secteur extractif. Quels sont les bénéficiaires de ces entreprises ? Quand il s’agit d’entreprises cotées en bourse, cela pose moins de problèmes. Nous sommes en train de travailler sur tous ces dossiers », a dit Mankeur Ndiaye.
A en croire le président du Comité national de l’ITIE (Initiative pour la transparence dans les industries extractives), cette question fait partie des défis qu’il entend relever.
« Faire en sorte que le débat public sur la question des ressources soit riche; il faut que les citoyens sachent exactement. Donc, c’est le principe de la transparence qui va être le maître-mot. Nous avons maintenant un certain nombre de défis. Nous sommes en train de travailler sur les conditions d’octroi des licences et des permis d’exploration. C’est important. Il y a un autre défi, c’est celui de la propriété réelle, savoir exactement qui est derrière ces entreprises qui interviennent dans le secteur extractif. Quels sont les bénéficiaires de ces entreprises ? Quand il s’agit d’entreprises cotées en bourse, cela pose moins de problèmes. Nous sommes en train de travailler sur tous ces dossiers », a dit Mankeur Ndiaye.
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