Le directeur exécutif de la Coalition des organisations en synergie pour la défense de l’éducation publique (COSYDEP), Cheikh Mbow, a appelé à ce que la réforme du curriculum scolaire intègre pleinement l’intelligence artificielle, afin de préparer les élèves à en faire une véritable « opportunité ».
« Nous sommes à l’ère d’une certaine révolution numérique, et le Sénégal ne devrait pas être absent avec plus de trois millions de nos enfants qui sont soit sur Facebook soit sur WhatsApp. Il est important de faire en sorte que ces jeunes ne puissent pas être de simples consommateurs de ces outils, mais des développeurs, cela est possible », a déclaré Cheikh Mbow.
Il prenait part à un panel sur l’intelligence artificielle et éducation, mercredi, en perspective du Salon international des algorithmes au Sénégal.
Selon l’APS, cette rencontre se tient en prélude au grand salon de l’intelligence artificielle en Afrique” prévu du 25 au 26 novembre 2025, sur le thème « Intelligence artificielle et souveraineté numérique : une ambition africaine pour un futur éthique, durable et compétitif ».
Cheikh Mbow a également salué la décision du ministre de l’Education nationale relative à l’introduction de l’intelligence artificielle dans les pratiques enseignantes dès la rentrée scolaire.
Il a par ailleurs plaidé pour la protection des enfants face aux dangers de cette nouvelle technologie qu’est l’intelligence artificielle.
« Il est essentiel justement que l’on puisse développer cet esprit de créativité, cet esprit critique. Mais nous pensons aussi qu’il est fondamental que les dispositifs normatifs puissent répondre en faisant en sorte que nos enfants soient davantage protégés des méfaits qui sont donc liés à l’intelligence artificielle », a souligné Cheikh Mbow.
« Nous sommes à l’ère d’une certaine révolution numérique, et le Sénégal ne devrait pas être absent avec plus de trois millions de nos enfants qui sont soit sur Facebook soit sur WhatsApp. Il est important de faire en sorte que ces jeunes ne puissent pas être de simples consommateurs de ces outils, mais des développeurs, cela est possible », a déclaré Cheikh Mbow.
Il prenait part à un panel sur l’intelligence artificielle et éducation, mercredi, en perspective du Salon international des algorithmes au Sénégal.
Selon l’APS, cette rencontre se tient en prélude au grand salon de l’intelligence artificielle en Afrique” prévu du 25 au 26 novembre 2025, sur le thème « Intelligence artificielle et souveraineté numérique : une ambition africaine pour un futur éthique, durable et compétitif ».
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