
Prenant la parole depuis l'Elysée, le président Français dit «mesuré l'enjeu de la période qui s'ouvre». «Comme président de la République je dois diriger l'Etat, je dois assurer le règlement des institutions jusqu'au terme de mon mandat», déclare-t-il.
Et de poursuivre: «Je ne peux me résoudre à la dispersion de la gauche, à son éclatement. Elle priverait de tout espoir de l'emporter».
«Pour ma part, je ne suis animé que par l'intérêt supérieur du pays. Depuis plus de quatre ans et demi, je l'ai servi avec sincérité. Face aux épreuves, j'ai pu avoir une capacité inépuisable de résistance face à l'adversité. Mais l'exercice du pouvoir ne m'ont jamais fait perdre ma lucidité, ni sur moi-même ni sur la situation…», explique François Hollande qui décide finalement «de ne pas être candidat à l'élection présidentielle».
Et de poursuivre: «Je ne peux me résoudre à la dispersion de la gauche, à son éclatement. Elle priverait de tout espoir de l'emporter».
«Pour ma part, je ne suis animé que par l'intérêt supérieur du pays. Depuis plus de quatre ans et demi, je l'ai servi avec sincérité. Face aux épreuves, j'ai pu avoir une capacité inépuisable de résistance face à l'adversité. Mais l'exercice du pouvoir ne m'ont jamais fait perdre ma lucidité, ni sur moi-même ni sur la situation…», explique François Hollande qui décide finalement «de ne pas être candidat à l'élection présidentielle».
Autres articles
-
Belgique: un documentaire sur les abus sexuels dans l'Église secoue le monde politique
-
Israël: scandale après des relations sexuelles entre des soldates et un condamné palestinien
-
Vatican: dans un désir de diversité, le pape François crée 21 nouveaux cardinaux
-
Haut-Karabakh: selon Erevan, l'Azerbaïdjan arrête des Arméniens fuyant l'enclave
-
Présidentielle à Madagascar: les institutions religieuses entament une médiation