Le Mouvement JAMMI Sénégal a exprimé, ce 29 août 2025 à Paris, sa « profonde inquiétude » face aux prises de position du président de l’Assemblée nationale, El Hadji Malick Ndiaye. Dans un communiqué signé par son président, Ibrahima Diop, le mouvement accuse le responsable parlementaire de tenir des déclarations qui « portent atteinte aux fondements de notre République ».
S’appuyant sur le principe de séparation des pouvoirs, JAMMI Sénégal rappelle que « depuis Montesquieu, il est établi que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir ». Le mouvement souligne que la Constitution sénégalaise, dans ses articles 88 et suivants, garantit l’indépendance du pouvoir judiciaire et distingue clairement les rôles de l’Exécutif, du Législatif et du Judiciaire.
Or, selon le communiqué, « en s’immisçant dans la conduite de l’Exécutif et en multipliant des menaces contre les magistrats, le Président de l’Assemblée nationale viole ouvertement le principe sacré de la séparation des pouvoirs et met en péril l’équilibre institutionnel de notre pays ».
Le mouvement insiste sur trois points : « Le Législatif n’a pas vocation à empiéter sur les prérogatives de l’Exécutif ; le Judiciaire est indépendant et doit être respecté dans son intégrité ; le Président de l’Assemblée nationale a l’obligation de se conformer à la retenue républicaine et de préserver la dignité du Parlement. »
Pour JAMMI Sénégal, « la République ne saurait tolérer aucune dérive autoritaire, aucune confusion des pouvoirs, ni aucune tentative de pression sur la justice ». Le mouvement appelle solennellement le président de l’Assemblée nationale « à se ressaisir, à rester dans le périmètre de ses compétences et à cesser immédiatement ses attaques contre les magistrats et son ingérence dans l’action gouvernementale ».
« La force de notre démocratie repose sur un Parlement responsable, une justice indépendante et un Exécutif respecté dans ses prérogatives », conclut le communiqué, estimant que seul le respect de cet équilibre permettra au Sénégal de « continuer à incarner une République forte, juste et crédible ».
S’appuyant sur le principe de séparation des pouvoirs, JAMMI Sénégal rappelle que « depuis Montesquieu, il est établi que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ; il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir ». Le mouvement souligne que la Constitution sénégalaise, dans ses articles 88 et suivants, garantit l’indépendance du pouvoir judiciaire et distingue clairement les rôles de l’Exécutif, du Législatif et du Judiciaire.
Or, selon le communiqué, « en s’immisçant dans la conduite de l’Exécutif et en multipliant des menaces contre les magistrats, le Président de l’Assemblée nationale viole ouvertement le principe sacré de la séparation des pouvoirs et met en péril l’équilibre institutionnel de notre pays ».
Le mouvement insiste sur trois points : « Le Législatif n’a pas vocation à empiéter sur les prérogatives de l’Exécutif ; le Judiciaire est indépendant et doit être respecté dans son intégrité ; le Président de l’Assemblée nationale a l’obligation de se conformer à la retenue républicaine et de préserver la dignité du Parlement. »
Pour JAMMI Sénégal, « la République ne saurait tolérer aucune dérive autoritaire, aucune confusion des pouvoirs, ni aucune tentative de pression sur la justice ». Le mouvement appelle solennellement le président de l’Assemblée nationale « à se ressaisir, à rester dans le périmètre de ses compétences et à cesser immédiatement ses attaques contre les magistrats et son ingérence dans l’action gouvernementale ».
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