Thomas Jolly, directeur artistique de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, a pris la défense de la chanteuse Aya Nakamura, victime de « racisme, de ’classisme’ et de sexisme », selon ses propos. La star française est pressentie pour chanter lors de la cérémonie d’ouverture des JO 2024.
C’est une polémique qui continue de faire du bruit. La chanteuse française Aya Nakamura, pressentie pour chanter lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, a été défendue par le directeur artistique de cet événement.
« Il y a des gens en France qui aiment Aya Nakamura, Georges Brassens et Pascal Dusapin »
Thomas Jolly, dans des propos rapportés par Télérama, a dénoncé le « racisme » dont a été victime la chanteuse. « Bien sûr qu’en mêlant rap, zouk et r’n’b dans sa pop afro-urbaine, Aya ne plaît pas à tout le monde. Mais le racisme, le ’classisme’, le sexisme dont elle a été victime sont inadmissibles et le Comité d’organisation des Jeux olympiques et Paralympiques (Cojop), comme les ministres des Sports et de la Culture l’ont soutenue », a déclaré ce dernier.
Depuis que la rumeur de la participation de la chanteuse de 28 ans est sortie, les réactions politiques se sont enchaînées, plusieurs figures de l’extrême droite n’hésitant pas à moquer la star.
Thomas Jolly a ajouté qu’il n’y avait pas lieu d’opposer les registres musicaux : « Il m’appartient que, le 26 juillet, chacun d’entre nous se sente reconnu : chacun a ses goûts propres et pourtant on forme un grand tout. Il y a des gens en France qui aiment Aya Nakamura, Georges Brassens et Pascal Dusapin. Pas de discrimination culturelle. »
Avec Ouest France
C’est une polémique qui continue de faire du bruit. La chanteuse française Aya Nakamura, pressentie pour chanter lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, a été défendue par le directeur artistique de cet événement.
« Il y a des gens en France qui aiment Aya Nakamura, Georges Brassens et Pascal Dusapin »
Thomas Jolly, dans des propos rapportés par Télérama, a dénoncé le « racisme » dont a été victime la chanteuse. « Bien sûr qu’en mêlant rap, zouk et r’n’b dans sa pop afro-urbaine, Aya ne plaît pas à tout le monde. Mais le racisme, le ’classisme’, le sexisme dont elle a été victime sont inadmissibles et le Comité d’organisation des Jeux olympiques et Paralympiques (Cojop), comme les ministres des Sports et de la Culture l’ont soutenue », a déclaré ce dernier.
Depuis que la rumeur de la participation de la chanteuse de 28 ans est sortie, les réactions politiques se sont enchaînées, plusieurs figures de l’extrême droite n’hésitant pas à moquer la star.
Thomas Jolly a ajouté qu’il n’y avait pas lieu d’opposer les registres musicaux : « Il m’appartient que, le 26 juillet, chacun d’entre nous se sente reconnu : chacun a ses goûts propres et pourtant on forme un grand tout. Il y a des gens en France qui aiment Aya Nakamura, Georges Brassens et Pascal Dusapin. Pas de discrimination culturelle. »
Avec Ouest France
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