Douchée par l’Allemagne, perturbée par des fritures en public entre Evan Fournier et Vincent Collet, l’équipe de France de basket doit réussir un exploit face au Canada mardi (16h00 GMT) en quart de finale des Jeux olympiques.
D’un côté, une équipe en pleine confiance, au parcours immaculé, ponctué de succès contre la Grèce (86-79), l’Australie (93-83) et l’Espagne (88-85) dans le sillage d’un chef de file dominant, Shai Gilgeous-Alexander, et d’une défense solide.
De l’autre, une sélection qui a débarqué à Paris pour la phase finale avec les mêmes valises pleines de doutes qu’elle avait posées dans le Nord pour la première semaine, encore alourdies par des escarmouches entre l’entraîneur et l’un de ses joueurs majeurs.
Dans la droite ligne d’une préparation au mieux poussive, au pire inquiétante, les Bleus ont été bousculés par le Brésil (78-66), miraculés face au Japon (94-90 a.p.) avant de chuter, logiquement et lourdement, face aux Allemands (85-71), champions du monde.
Cette sélection bleu-blanc-rouge dispose pourtant d’une arme fatale: Victor Wembanyama (2,24 mètres) et son alliage unique de taille, mobilité et technique. Mais le jeune prodige (20 ans), certes souvent mal servi, a été chahuté physiquement par les Allemands au point d’avoir une influence très réduite sur le jeu de son équipe.
Les Canadiens, qui disposent d’un secteur intérieur bien moins fourni, voudront certainement exploiter cette faille en lui collant le très physique et malicieux Dillon Brooks (1,98 m), qui a pour habitude de le gêner considérablement.
Le salut des Bleus passera sans nul doute par une solide prestation collective, mais aussi par une grande performance de sa jeune vedette.
Avec AFP
D’un côté, une équipe en pleine confiance, au parcours immaculé, ponctué de succès contre la Grèce (86-79), l’Australie (93-83) et l’Espagne (88-85) dans le sillage d’un chef de file dominant, Shai Gilgeous-Alexander, et d’une défense solide.
De l’autre, une sélection qui a débarqué à Paris pour la phase finale avec les mêmes valises pleines de doutes qu’elle avait posées dans le Nord pour la première semaine, encore alourdies par des escarmouches entre l’entraîneur et l’un de ses joueurs majeurs.
Dans la droite ligne d’une préparation au mieux poussive, au pire inquiétante, les Bleus ont été bousculés par le Brésil (78-66), miraculés face au Japon (94-90 a.p.) avant de chuter, logiquement et lourdement, face aux Allemands (85-71), champions du monde.
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