La brigade de recherches de Keur Massar (Dakar) a mis fin aux agissements d’une bande de faussaire qui s’apprêtait à mettre sur le marché des billets noirs. Les mis en cause ont été arrêtés avec des coupures qui allaient valoir, après lavage, un milliard de francs CFA.
L’Observateur qui donne l’information, renseigne que la bande composée de quatre individus, était dirigée par un gradé de l’Armée. Ce dernier avait d’ailleurs garé une voiture de la Grande muette au bas de l’immeuble où il a été pris en flagrant délit en compagnie de ses complices, un ancien technicien du son d’un groupe de presse devenu agent immobilier, un employé de La Poste et un étudiant.
Informés de l’existence d’un réseau de vente de billets noirs, les hommes en bleu ont décidé d’infiltrer la bande pour y voire plus claire. L’infiltré se fait passer pour un acheteur avant de conclure un marche avec les faussaires.
Le journal de renseigner qu’un rendez-vous est alors pris pour hier jeudi, à l’heure de la coupure du jeûne dans un appartement de la cité La Linguère de Keur Massar. Mais à la place de leur «client», le gradé de l’Armée et ses complices, qui avaient pris position avec l’espoir d’écouler sans frais leurs billets noirs, voient surgir les éléments de la brigade de recherches de Keur Massar.
Leur plan tombé à l’eau, les quatre mis en cause ont été placés en détention et soumis à l’incontournable interrogatoire des enquêteurs qui les expose à la prison pour un long bail.
L’Observateur qui donne l’information, renseigne que la bande composée de quatre individus, était dirigée par un gradé de l’Armée. Ce dernier avait d’ailleurs garé une voiture de la Grande muette au bas de l’immeuble où il a été pris en flagrant délit en compagnie de ses complices, un ancien technicien du son d’un groupe de presse devenu agent immobilier, un employé de La Poste et un étudiant.
Informés de l’existence d’un réseau de vente de billets noirs, les hommes en bleu ont décidé d’infiltrer la bande pour y voire plus claire. L’infiltré se fait passer pour un acheteur avant de conclure un marche avec les faussaires.
Le journal de renseigner qu’un rendez-vous est alors pris pour hier jeudi, à l’heure de la coupure du jeûne dans un appartement de la cité La Linguère de Keur Massar. Mais à la place de leur «client», le gradé de l’Armée et ses complices, qui avaient pris position avec l’espoir d’écouler sans frais leurs billets noirs, voient surgir les éléments de la brigade de recherches de Keur Massar.
Leur plan tombé à l’eau, les quatre mis en cause ont été placés en détention et soumis à l’incontournable interrogatoire des enquêteurs qui les expose à la prison pour un long bail.
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