Idrissa Diallo, Bamba Fall, Aminata Diallo, entre autres ont été désavoués par le maire de Dakar. En effet, Khalifa Sall a déclaré hier, lors de la réunion du Secrétariat exécutif national du Parti socialiste (Ps) ne cautionner aucune attaque contre Ousmane Tanor Dieng, qui, en tant que Secrétaire général, est l’autorité suprême de leur formation politique. «Je suis un militant qui reste loyal et en aucun cas, je ne cautionnerai qu’on s’attaque à l’autorité du parti qu’est le Secrétaire général», a déclaré l’édile de Dakar. Avant de marteler : «Je ne suis pas d’accord et je ne peux pas être d’accord avec cela».
Sur les accusations selon lesquelles il serait le soutien financier des mouvements qui portent sa candidature, le maire de la capitale sénégalaise a tenu à préciser : «Je n’ai parrainé ni financé un mouvement de soutien. Je suis contre ces mouvements et jamais je ne financerai une quelconque activité qui porte atteinte à la vie du Parti socialiste».
Khalifa Sall, même s’il se définit en «homme libre», recadre les pourfendeurs du Secrétaire général national : «Je peux ne pas être d’accord avec certains choix du parti, mais on discute de tout. J’entends beaucoup de choses, mais je ne suis pas dans ces choses», a-t-il affirmé.
Ousmane Tanor Dieng qui avait ouvert la réunion est, quant à lui, campé sur sa position en ce qui concerne le candidat du Ps à la prochaine élection présidentielle : «On ne peut pas dicter ou imposer au Parti socialiste son candidat. Le choix du candidat se fera comme dans le passé, il appartiendra aux militants de choisir», a réaffirmé le maire de Nguéniène.
Sur les accusations selon lesquelles il serait le soutien financier des mouvements qui portent sa candidature, le maire de la capitale sénégalaise a tenu à préciser : «Je n’ai parrainé ni financé un mouvement de soutien. Je suis contre ces mouvements et jamais je ne financerai une quelconque activité qui porte atteinte à la vie du Parti socialiste».
Khalifa Sall, même s’il se définit en «homme libre», recadre les pourfendeurs du Secrétaire général national : «Je peux ne pas être d’accord avec certains choix du parti, mais on discute de tout. J’entends beaucoup de choses, mais je ne suis pas dans ces choses», a-t-il affirmé.
Ousmane Tanor Dieng qui avait ouvert la réunion est, quant à lui, campé sur sa position en ce qui concerne le candidat du Ps à la prochaine élection présidentielle : «On ne peut pas dicter ou imposer au Parti socialiste son candidat. Le choix du candidat se fera comme dans le passé, il appartiendra aux militants de choisir», a réaffirmé le maire de Nguéniène.
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