« Je suis sérieusement préoccupé par l'aggravation de la situation en Côte d'Ivoire et déplore le nombre croissant de morts » peut -on lire dans une déclaration de l’ancien Secrétaire général des Nations Unies, (1997-2006), datée de ce mardi.
« Je me joins aux nombreuses voix, et avant tout à celles de la Communauté économique des états de l'Afrique de l'Ouest et de l'Union Africaine, qui appellent l'ancien Président Laurent Gbagbo à céder la place et à respecter la volonté du peuple. Celui-ci a choisi Alassane Ouattara et aucune répression, aussi brutale et longue soit-elle, ne pourra altérer ni cette décision, ni la légitimité de M. Ouattara ».
Relativement aux forces de l’ordre, « j'appelle les forces militaires et policières de la Côte d'Ivoire à protéger la population civile, à éviter l'usage excessif de la force et à s'abstenir de toute activité mettant de nouvelles vies en danger ».
Encourageant « les nombreuses personnes en Côte d'Ivoire qui se dressent contre l'injustice et la répression actuelle », M. Annan, « lance un appel à tous les Ivoiriens afin qu’ils refusent la manipulation des différences tribales, travaillent ensemble pour la paix, la stabilité et la réconciliation et exigent le respect des lois et des droits humains. »
« Je me joins aux nombreuses voix, et avant tout à celles de la Communauté économique des états de l'Afrique de l'Ouest et de l'Union Africaine, qui appellent l'ancien Président Laurent Gbagbo à céder la place et à respecter la volonté du peuple. Celui-ci a choisi Alassane Ouattara et aucune répression, aussi brutale et longue soit-elle, ne pourra altérer ni cette décision, ni la légitimité de M. Ouattara ».
Relativement aux forces de l’ordre, « j'appelle les forces militaires et policières de la Côte d'Ivoire à protéger la population civile, à éviter l'usage excessif de la force et à s'abstenir de toute activité mettant de nouvelles vies en danger ».
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