Assurer les dépenses familiales relatives à la fête de Korité est un véritable casse-tête pour les salariés, à plus de quinze jours de la fin du mois. En effet, bon nombre de salariés qui se trouvent déjà fauchés, n’ont pas d’autre alternative que de recourir aux prêts. Pour couvrir les frais de la célébration de la fin du mois béni de ramadan, le crédit est inévitable selon la plupart des salariés interpellés par la RFM.
Toutefois, à cause du taux de remboursement élevé, certains préfèrent fonctionner tout simplement avec les moyens du bord. La fête ne vaut pas des sacrifices au-delà de ses capacités, défendent-ils.
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