
En voici une sur qui le Président de la République, Me Abdoulaye Wade, peut compter pour défendre la pertinence de l'organisation du festival mondial des arts nègres (FESMAN) qui s’est déroulé du 10 au 31 décembre 2010 en terre sénégalaise.
Dans l’entretien qu’elle a accordé à notre confrère du journal Le Quotidien, l’écrivain sénégalais, Fatou Diom, a dit toute l’importance que revêt une telle rencontre.
«Un repère d’activités, c’est-à-dire un moment important vu le dialogue, le partage que cela permet mais pas seulement avec les Sénégalais», se réjouit-elle.
«La rencontre entre les autres pays africains et les USA, le Brésil, ce dialogue de la diaspora noire, c’est quelque chose en marche ; c’est un mouvement vers l’avenir », ajoute Fatou Diom.
Selon elle, «aulieu d’être là, entre africain, pour nous plaindre de tout ce qui va mal, on peut aussi nous réunir pour penser l’avenir de l’Afrique, l’avenir de la Diaspora noire et le festival le permet», explique-t-elle.
«Chaque fois que je vais à l’étranger, je rencontre d’autres ressortissants africains qui réfléchissent sur cette problématique et on progresse comme ça »,a développé Fatou Diom.
A l’en croire, «il y a une dialectique qui s’installe et l’Afrique, elle, avance», sourit-elle.
Dans l’entretien qu’elle a accordé à notre confrère du journal Le Quotidien, l’écrivain sénégalais, Fatou Diom, a dit toute l’importance que revêt une telle rencontre.
«Un repère d’activités, c’est-à-dire un moment important vu le dialogue, le partage que cela permet mais pas seulement avec les Sénégalais», se réjouit-elle.
«La rencontre entre les autres pays africains et les USA, le Brésil, ce dialogue de la diaspora noire, c’est quelque chose en marche ; c’est un mouvement vers l’avenir », ajoute Fatou Diom.
Selon elle, «aulieu d’être là, entre africain, pour nous plaindre de tout ce qui va mal, on peut aussi nous réunir pour penser l’avenir de l’Afrique, l’avenir de la Diaspora noire et le festival le permet», explique-t-elle.
«Chaque fois que je vais à l’étranger, je rencontre d’autres ressortissants africains qui réfléchissent sur cette problématique et on progresse comme ça »,a développé Fatou Diom.
A l’en croire, «il y a une dialectique qui s’installe et l’Afrique, elle, avance», sourit-elle.
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