Le budget de la mairie de Dakar est fixé pour le budget de 2011 à 30 milliards de francs CFA. Une baisse que le maire Khalifa Ababacar Sall explique par une politique de sincérité du budget. A l’en croire, les recettes fiscales n’atteignent jamais les prévisions.
«Pour le budget de 2011, notre choix est clair. Nous avons décidé de faire une politique de sincérité », a soutenu l’édile de la capitale sénégalaise qui explique les raisons de cette baisse. «Cela signifie que le budget doit baisser. De 33 milliards en 2010, nous devons baisser à 30 milliards ce budget parce que c’est cela qui est sincère», a-t-il indiqué dans les colonnes du quotidien Le Populaire avant de préciser : «il était à 44 milliards quand nous arrivions, et nous faisons actuellement 26 milliards de recette».
Le Socialiste n’assimile pas cette baisse à une régression. «Ce n’est pas une régression, c’est un ajustement du budget par rapport à la réalité », a dit-il noté indiquant « qu’on ne peut pas avoir une prévision budgétaire de 44 milliards de FCFA et n’avoir que 26 milliards de recettes. Car il y a 14 milliards de dépenses qu’on peut autoriser et qui ne sont pas recouvrables». C’est pourquoi, justifie-t-il «pour une sincérité de budget, on préfère revenir à 30 milliards et nous battre pour avoir 30 milliards de recettes».
Par rapport à ce régime budgétaire, il a demandé aux mairies d’arrondissement de revoir leurs prétentions à la baisse.
«Pour le budget de 2011, notre choix est clair. Nous avons décidé de faire une politique de sincérité », a soutenu l’édile de la capitale sénégalaise qui explique les raisons de cette baisse. «Cela signifie que le budget doit baisser. De 33 milliards en 2010, nous devons baisser à 30 milliards ce budget parce que c’est cela qui est sincère», a-t-il indiqué dans les colonnes du quotidien Le Populaire avant de préciser : «il était à 44 milliards quand nous arrivions, et nous faisons actuellement 26 milliards de recette».
Le Socialiste n’assimile pas cette baisse à une régression. «Ce n’est pas une régression, c’est un ajustement du budget par rapport à la réalité », a dit-il noté indiquant « qu’on ne peut pas avoir une prévision budgétaire de 44 milliards de FCFA et n’avoir que 26 milliards de recettes. Car il y a 14 milliards de dépenses qu’on peut autoriser et qui ne sont pas recouvrables». C’est pourquoi, justifie-t-il «pour une sincérité de budget, on préfère revenir à 30 milliards et nous battre pour avoir 30 milliards de recettes».
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