« Le Pds (Parti démocratique sénégalais) est aujourd’hui le parti le plus attractif ». C’est du moins l’avis de Lamine Bâ, secrétaire général (sg) national adjoint chargé des cadres du Pds. A l’émission Jury du dimanche (jdd) sur Iradio, dont il était l’invité ce 15 octobre 2023, il est revenu sur comment le président Macky Sall voulait réduire le parti de l’ancien président sénégalais Me Abdoulaye Wade « à sa plus simple expression ».
« Je rappelle que la première ambition du président Macky Sall, c’était de réduire l’opposition à sa plus simple expression particulièrement le PDS. Il s’est acharné sur ce parti. Suite à la perte du pouvoir, il a utilisé la carotte pour enlever le parti de ses ressources humaines de qualité, de ses cadres qui a tout fait pour nous disloquer et nous réduire à sa plus simple expression », a-t-il déclaré d’emblée.
Mais malgré cette volonté du chef de l’Etat, le Pds a, selon M. Bâ, réussi à prouver la pertinence de sa vision politique : « Les 10 années passées dans l’opposition nous ont permis de prouver la solidité de notre appareil, de prouver la pertinence de la vision politique qui a animé et qui a été porté par notre leader le président Abdoulaye Wade », s'est-il félicité.
Pour le Sg adjoint chargé des cadres du Pds « aujourd’hui, le Pds est le parti le plus attractif ». Parce que, a-t-il expliqué avec assurances, « nous avons réussi, malgré les difficultés, malgré les brimades, malgré le harcèlement du pouvoir en place qui a utilisé l’appareil d’Etat, les moyens de l’Etat, la puissance publique contre nous. Nous avons réussi à nous repositionner sur l’échiquier politique national, à nous intéresser à la vitalité de notre parti en procédant au renouvellement de nos structures, à la vente des cartes ce qu’aucun parti au Sénégal n’a encore fait ce jour ».
Le Pds a engagé le processus de la vente des cartes malgré les problèmes notés au sein de la formation politique. « Nous avons engagé le processus de la vente des cartes. C’est vrai qu’il y’a quelques couacs ce qui est inhérents à une entreprise de réorganisation d’un parti. Il y’a des gens qui étaient là pendant des années qui pensaient devoir être toujours là. Il y’a de nouveaux militants qui s’estiment être en devoir de revendiquer leurs responsabilités dans le parti. Ce qui crée forcément un choc des ambitions. Je constate effectivement qu’il y’a des problèmes mais notre parti a mis en place des procédures et mécanismes qui permettent à tout un chacun de se faire entendre et de faire revendiquer ses droits. Donc, je ne vois aucun inconvénient par rapport à cela », a-t-il fait savoir. Non sans informer que « le parti regorge 400 cadres actuellement ».
« Au moment où je vous parle le parti regorge plus de 400 cadres. Nous faisons nos activités et c’est peut-être en dehors de l’espace médiatique », a-t-il conclu.
« Je rappelle que la première ambition du président Macky Sall, c’était de réduire l’opposition à sa plus simple expression particulièrement le PDS. Il s’est acharné sur ce parti. Suite à la perte du pouvoir, il a utilisé la carotte pour enlever le parti de ses ressources humaines de qualité, de ses cadres qui a tout fait pour nous disloquer et nous réduire à sa plus simple expression », a-t-il déclaré d’emblée.
Mais malgré cette volonté du chef de l’Etat, le Pds a, selon M. Bâ, réussi à prouver la pertinence de sa vision politique : « Les 10 années passées dans l’opposition nous ont permis de prouver la solidité de notre appareil, de prouver la pertinence de la vision politique qui a animé et qui a été porté par notre leader le président Abdoulaye Wade », s'est-il félicité.
Pour le Sg adjoint chargé des cadres du Pds « aujourd’hui, le Pds est le parti le plus attractif ». Parce que, a-t-il expliqué avec assurances, « nous avons réussi, malgré les difficultés, malgré les brimades, malgré le harcèlement du pouvoir en place qui a utilisé l’appareil d’Etat, les moyens de l’Etat, la puissance publique contre nous. Nous avons réussi à nous repositionner sur l’échiquier politique national, à nous intéresser à la vitalité de notre parti en procédant au renouvellement de nos structures, à la vente des cartes ce qu’aucun parti au Sénégal n’a encore fait ce jour ».
Le Pds a engagé le processus de la vente des cartes malgré les problèmes notés au sein de la formation politique. « Nous avons engagé le processus de la vente des cartes. C’est vrai qu’il y’a quelques couacs ce qui est inhérents à une entreprise de réorganisation d’un parti. Il y’a des gens qui étaient là pendant des années qui pensaient devoir être toujours là. Il y’a de nouveaux militants qui s’estiment être en devoir de revendiquer leurs responsabilités dans le parti. Ce qui crée forcément un choc des ambitions. Je constate effectivement qu’il y’a des problèmes mais notre parti a mis en place des procédures et mécanismes qui permettent à tout un chacun de se faire entendre et de faire revendiquer ses droits. Donc, je ne vois aucun inconvénient par rapport à cela », a-t-il fait savoir. Non sans informer que « le parti regorge 400 cadres actuellement ».
« Au moment où je vous parle le parti regorge plus de 400 cadres. Nous faisons nos activités et c’est peut-être en dehors de l’espace médiatique », a-t-il conclu.
Autres articles
-
#Législatives2024 : plus de 348 millions de bulletins de vote estimés à plus de 10 milliards de F Cfa imprimés pour les 41 listes
-
Concepteurs du projet Sénégal 2050 : quand afriqueconfidentielle s'emmêle les pinceaux sur les vrais auteurs
-
Le directeur des Affaires religieuses s'est rendu à Touba ce dimanche
-
"Faux et usage de faux-Abus de faiblesse" : la coalition Sopi Sénégal annonce une plainte dès ce lundi
-
Lancement de deux filiales de la Sapco-Sénégal : Ousmane Sonko appelle à promouvoir "le tourisme intégré"