C'était le jour d'après. D'après les incidents racistes et l'arrêt du match, sur décision des joueurs, qui a suivi. Vingt-et-une heure et 42 minutes plus tard, le terrain et le jeu ont repris leurs droits. Et, finalement, le succès parisien a été aussi tranquille que la soirée de la veille avait été agitée. Mais pas anecdotique puisque le PSG, certes qualifié au - nouveau - coup d'envoi, a assuré la première place de son groupe devant Leipzig, ce qui était loin d'être une évidence il y a quelques semaines.
Évidemment, il y a d'abord eu l'émotion et les hommages. Ces banderoles du club dans les tribunes, ces messages des supporters à l'intérieur et à l'extérieur de l'enceinte, ces maillots floqués à l'échauffement... Autant de symboles avec le même message : « Non au racisme ». Il y a aussi eu ce geste puissant, quand tous les acteurs se sont réunis dans le rond central, genoux à terre et poings levés.
Puis le chrono s'est remis à tourner, et Neymar, qui avait apporté son soutien à ses adversaires, les a cette fois malmenés balle au pied. Il était dans un grand soir, capable de réussir tout ce qu'il tentait. Son triplé, le troisième de sa carrière en Ligue des champions, et son implication directe sur les deux buts de Mbappé sont là pour le prouver.
Globalement, Paris, bien aidé par les espaces laissés par Basaksehir, a été inspiré et efficace offensivement, dans son 5-3-2. Neymar, donc, a régalé, Mbappé a brisé sa série noire, Di Maria a glissé deux passes décisives et Verratti a montré que sa présence changeait le visage de son équipe. Seul bémol : ce but - un peu gag - encaissé, après un cafouillage sur corner (57e). Mais, encore une fois, au vu de sa situation il y a quelques semaines, le PSG s'en contentera largement.
Évidemment, il y a d'abord eu l'émotion et les hommages. Ces banderoles du club dans les tribunes, ces messages des supporters à l'intérieur et à l'extérieur de l'enceinte, ces maillots floqués à l'échauffement... Autant de symboles avec le même message : « Non au racisme ». Il y a aussi eu ce geste puissant, quand tous les acteurs se sont réunis dans le rond central, genoux à terre et poings levés.
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