Le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci. (Photo : Alberto Pizzoli/AFP)
Le CNT, Conseil national de transition, alors naissant, accusait Alger d’un silence complice de la répression du peuple libyen par Mouammar Kadhafi. Aujourd'hui, changement de ton à Alger qui n’a reconnu le CNT qu’après la chute du régime Kadhafi et présenté par le président Abdeljalil comme une amie de la révolution libyenne :
« La position de la Ligue arabe, qui fut primordiale pour l'adoption de la résolution de l'ONU et la légitimité internationale, a été soutenue par l'Algérie. Et les autorités libyennes n'oublieront pas ce soutien du peuple et du gouvernement algériens ».
Dernièrement pourtant, le chef du CNT avait menacé de rompre ou revoir les relations diplomatiques avec les pays voisins qui refusent d’extrader des membres ou des soutiens de la famille Kadhafi. Mais le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci s’explique et se veut rassurant :
« Nous avons accueilli les Kadhafi, et ils sont encore en Algérie pour des raisons humanitaires. Mais il n'est pas pemis à cette famille, de toucher un cheveu de notre soeur la Libye. C'est un des engagements de l'Algérie ».
Que fera Alger des Kadhafi ? Pas de réponse. L’heure est à la reprise du dialogue entre les deux pays surtout dans la lutte contre le terrorisme et la sécurisation des frontières, au programme d'une réunion de plusieurs ministres de la région prévue le dimanche 11mars.
Source: RFI
« La position de la Ligue arabe, qui fut primordiale pour l'adoption de la résolution de l'ONU et la légitimité internationale, a été soutenue par l'Algérie. Et les autorités libyennes n'oublieront pas ce soutien du peuple et du gouvernement algériens ».
Dernièrement pourtant, le chef du CNT avait menacé de rompre ou revoir les relations diplomatiques avec les pays voisins qui refusent d’extrader des membres ou des soutiens de la famille Kadhafi. Mais le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci s’explique et se veut rassurant :
« Nous avons accueilli les Kadhafi, et ils sont encore en Algérie pour des raisons humanitaires. Mais il n'est pas pemis à cette famille, de toucher un cheveu de notre soeur la Libye. C'est un des engagements de l'Algérie ».
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