L’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité ce mardi 20 juin le nouveau Code de la presse. La promulgation est attendue dans huit (8) jours tout au plus, selon les propres termes du Secrétaire d’Etat à la Communication.
«Il y a les délais de six (6) jours que l’on attend pour d’éventuelles contestations parce que la Cour suprême peut être saisi soit par le président de la République soit par un nombre de députés. Si ce délai de six (6) jours passe, dans les huit (8) jours francs qui suivent le Code est promulgué. Par contre, ce délai peut être réduit de moitié si l’Assemblée nationale juge nécessaire d’introduire une procédure d’urgence», décline Yakham Mbaye.
Beaucoup d’amendements ont été apportés au texte notamment sur l’accès à la profession, au secret défense,…
Président du Conseil des diffuseurs et Editeurs de Presse et membre de la Coordination des Associations de Presse (CAP), Mamadou Ibra Kane annonce que «le combat va se poursuivre».
«Nous sommes satisfaits sur quatre (4) points : l’accès à la profession, l’organisation des médias mais par contre sur la liberté de presse et ça, c’est fondamental. Ce n’est pas le combat des journalistes mais de tous les Sénégalais. Plus la presse est forte plus la démocratie est forte au Sénégal et ça, nous disons que le combat n’est pas fini. Aujourd’hui, ça a commencé le 20 juin 2017, nous allons le poursuivre peut-être que ce sont nos petits enfants qui vont poursuivre ce combat-là. Nous y appelons autant la majorité présidentielle, autant l’opposition, autant la société civile,… », crache le journaliste.
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