Les membres du Comité Ad Hoc Facilitation se sont réunis mercredi, pour examiner la situation politique nationale. A un mois de l’expiration du mandat du président de la République en exercice, Macky Sall. Le comité qui s’est engagé dans la recherche des solutions tout au long du processus électoral depuis les préparatifs des législatives de juillet 2022, est extrêmement préoccupé par le flou autour de l’organisation de l’élection présidentielle.
Dans un communiqué publié ce jeudi, le comité demeure engagé et déterminé à « œuvrer avec toutes les parties prenantes du processus électoral ainsi que tous les segments de la société pour une élection présidentielle crédible, transparente et apaisée dans le cadre du respect de la Constitution ».
Les décisions du Conseil constitutionnel n’étant pas susceptibles de recours et s’imposant à tous y compris aux pouvoirs publics (article 92 de la Constitution), ce dernier rappelle aux parties prenantes au processus électoral que tous les actes posés doivent être conformes à la loi fondamentale.
Par ailleurs, le comité a pris connaissance des différentes propositions issues des travaux du dialogue national tenue ainsi que celles des acteurs n’ayant pas pris part au dialogue. Conformément à sa mission, il encourage toute initiative de concertation qui doit être permanent entre toutes les forces vives de la nation sénégalaise.
Les membres du comité tiennent, cependant à souligner leur attachement aux valeurs de la République inscrites dans la Constitution et restent convaincus que par le jeu normal et le fonctionnement régulier des différentes institutions de la République, il demeure possible de trouver une issue à cette crise, respectueuse des valeurs démocratiques universellement reconnus pour le Sénégal et des lois sénégalaises, conclut le texte.
Dans un communiqué publié ce jeudi, le comité demeure engagé et déterminé à « œuvrer avec toutes les parties prenantes du processus électoral ainsi que tous les segments de la société pour une élection présidentielle crédible, transparente et apaisée dans le cadre du respect de la Constitution ».
Les décisions du Conseil constitutionnel n’étant pas susceptibles de recours et s’imposant à tous y compris aux pouvoirs publics (article 92 de la Constitution), ce dernier rappelle aux parties prenantes au processus électoral que tous les actes posés doivent être conformes à la loi fondamentale.
Par ailleurs, le comité a pris connaissance des différentes propositions issues des travaux du dialogue national tenue ainsi que celles des acteurs n’ayant pas pris part au dialogue. Conformément à sa mission, il encourage toute initiative de concertation qui doit être permanent entre toutes les forces vives de la nation sénégalaise.
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