Mohamed Tamsir Dramé est au téléphone de Pressafrik.com. Réagissant sur la situation du pays, il dresse un bilan « critique » avec « tous ces procès qui sont en cours », selon ses propres termes. L’étudiant en Droit ne mâche pas ses mots. Selon lui, il s’agit d’une «chasse aux sorcières des anciens dignitaires du régime de Wade ». « Le pays a besoin d’un programme pour trouver une solution aux problèmes que rencontrent les populations au lieu de tout centraliser sur la justice et de vouloir régler des comptes personnels », prône-t-il. Mohamed Tamsir Dramé persiste et signe : «Ce sont des règlements de comptes ».
«Et on voudrait bien que le peuple Sénégalais soit épargné de ce règlement », lance-t-il. Car, s’agissant du 23 mars, c’est un risque de « fracture sociale » qui pend au nez des Sénégalais », alerte le fils d’Aïda Ndiongue. «Ce pays est divisé en deux », sert ce dernier qui ne manque pas de préciser que « la situation du pays est telle qu’il y a des pro-Karim et des anti-Karim ». Qualifiant la CREI d’instrument politique, Mohamed Tamsir Dramé d’indiquer que ce 23 mars est un tournant dans notre Démocratie. Ce, d’autant plus que beaucoup estime que « Karim est un otage politique », à l’instar d’Aïda Ndiongue et Cie.
Se prononçant en marge du procès de sa mère ce 17 mars face au juge du Tribunal correctionnel, l’étudiant est dans la salle 3 du palais de Justice de Dakar. Ce, «pour apporter tout le soutien nécessaire à cette femme courageuse, qui a travaillé, tout gagné à la sueur de son front ». Mais qui est « aujourd’hui victime d’un jeu politique ». Mais « Dieu est Grand », clôt-il.
De la justice sénégalaise, il n’attend qu’une seule chose : «Que le juge rende un jugement impartial ».
«Et on voudrait bien que le peuple Sénégalais soit épargné de ce règlement », lance-t-il. Car, s’agissant du 23 mars, c’est un risque de « fracture sociale » qui pend au nez des Sénégalais », alerte le fils d’Aïda Ndiongue. «Ce pays est divisé en deux », sert ce dernier qui ne manque pas de préciser que « la situation du pays est telle qu’il y a des pro-Karim et des anti-Karim ». Qualifiant la CREI d’instrument politique, Mohamed Tamsir Dramé d’indiquer que ce 23 mars est un tournant dans notre Démocratie. Ce, d’autant plus que beaucoup estime que « Karim est un otage politique », à l’instar d’Aïda Ndiongue et Cie.
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