« Venez discutez ». Tel un leitmotiv, le ministre a tenu ces propos plusieurs lors de son intervention à l’Assemblée nationale, ce lundi. Ce, d’autant plus que soutient Aly Ngouille Ndiaye, « ce n’est pas encore trop tard » car « le dialogue ne fait que commencer ».
Le successeur d’Abdoulaye Daouda Diallo de renchérir: « On doit se faire confiance. Vous avez la possibilité de formuler vos observations. Avant de récuser quelqu’un, il faut d’abord discuter avec lui ».
Avant l’intervention d’Aly Ngouille Ndiaye, le président du Groupe parlementaire « Liberté et Démocratie » s’était déjà voulu très clair. Il faut relever qu’au niveau de Me Madické les félicitations que le président Macky Sall a adressées à Abdoulaye Diallo après les élections législatives du 30 juillet dernier, ne passent pas. Alors là, pas du tout.
« Je ne verserai pas dans les invectives et diatribes. La réalité nous allons la démontrer sur le terrain… Les Sénégalais nous feront confiance en 2019 », a-t-il lancé. Avant de poursuivre : « Touba, c’était un sabotage, on a voulu coûte que coûte diminuer les votants… ». Et, selon lui, « le minimum aurait été de reconnaître ses torts » mais à la place, « on ne se félicite ».
Le successeur d’Abdoulaye Daouda Diallo de renchérir: « On doit se faire confiance. Vous avez la possibilité de formuler vos observations. Avant de récuser quelqu’un, il faut d’abord discuter avec lui ».
Avant l’intervention d’Aly Ngouille Ndiaye, le président du Groupe parlementaire « Liberté et Démocratie » s’était déjà voulu très clair. Il faut relever qu’au niveau de Me Madické les félicitations que le président Macky Sall a adressées à Abdoulaye Diallo après les élections législatives du 30 juillet dernier, ne passent pas. Alors là, pas du tout.
« Je ne verserai pas dans les invectives et diatribes. La réalité nous allons la démontrer sur le terrain… Les Sénégalais nous feront confiance en 2019 », a-t-il lancé. Avant de poursuivre : « Touba, c’était un sabotage, on a voulu coûte que coûte diminuer les votants… ». Et, selon lui, « le minimum aurait été de reconnaître ses torts » mais à la place, « on ne se félicite ».
« Vous voulez que l’on continue à être des marionnettes entre vos mains. On ne sera pas des marionnettes entre vos mains. Vous vous asseyez sur le butin et demander à ce qu’on dialogue. Ce que nous demandons, il faut que la transparence soit au rendez-vous à tous les niveaux », a-t-il clos.
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