Le climat a été qualifié de ressource essentielle par le rapport de l’équipe spéciale de haut niveau de la troisième conférence mondiale sur le climat et pourtant, l’homme qui reste vulnérable à sa variabilité et à ses changements demeure le principal facteur de changement climatique.
En effet, selon le représentant du ministre des transports aériens, Boubacar Camara la problématique du changement climatique lié aux activités humaines a été identifiée bien avant que le phénomène ne commence à se matérialiser, et tout dernièrement, le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dans son dernier et quatrième rapport auquel ont participé plus de 2500 scientifiques de 130 pays, affirme que le réchauffement climatique, depuis 1950, est très probablement d’origine humaine, et les projections des modèles climatiques montrent que le réchauffement devrait se poursuivre.
L’accent a été ainsi mis sur le climat en cette journée mondiale de la météorologie pour sensibiliser les gens sur ce phénomène qui implique de grands bouleversements climatiques avec de fortes conséquences humaines et environnementales. Les météorologues veulent que les populations prennent conscience de la dégradation de l’environnement, de l’augmentation de la fréquence des catastrophes naturelles et leurs incidences sur la vie et le bien être de l’humanité.
Pour le directeur général de l’agence nationale de la météorologie du Sénégal (ANMS), Mactar Ndiaye, cette journée permet de communiquer et d’échanger avec les usagers et d’une manière générale avec les sénégalais. L’objectif étant de lutter contre la pauvreté et la réduction de la vulnérabilité des populations face aux catastrophes naturelles.
En effet, selon le représentant du ministre des transports aériens, Boubacar Camara la problématique du changement climatique lié aux activités humaines a été identifiée bien avant que le phénomène ne commence à se matérialiser, et tout dernièrement, le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dans son dernier et quatrième rapport auquel ont participé plus de 2500 scientifiques de 130 pays, affirme que le réchauffement climatique, depuis 1950, est très probablement d’origine humaine, et les projections des modèles climatiques montrent que le réchauffement devrait se poursuivre.
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