La tenue de la troisième conférence de reconstitution des ressources du Partenariat mondial pour l’éducation (PME) constitue une opportunité pour mobiliser 3,1 milliards de dollars sur la période 2018-2020. Ce financement vise à soutenir l’éducation de 870 millions d’enfants dans 89 pays en développement, dans lesquels vivent 78% des enfants non scolarisés dans le monde, selon l’Organisation des Nations Unies (ONU).
Selon le document final de position de la société civil sur le financement de l’éducation au Sénégal, «sans une prise en charge sérieuse de l’éducation, gage d’un développement durable, on ne pourra pas faire face à des défis aussi complexe que ceux liés à l’emploi des jeunes, à la condition des femmes, à la crise écologique, aux migrations irrégulières, à la montée de l’insécurité, à de l’extrémisme violent,… ».
Concernant le Sénégal, il est mentionné dans le document que : « 6% du PIB est consacré à l’éducation, à la formation et à la recherche, alors que l’objectif visé était de 8% à l’horizon de 2017 selon les directives présidentielles de 2013. Nonobstant, ces ressources importantes, les besoins en éducation et formation de qualité, restent insatisfaits, entrainant une grande instabilité du système éducatif, l’exclusion et l’abandon de beaucoup d’adultes, d’enfants dont surtout les filles. On note également dans la répartition des ressources entre les sous-secteurs pour le développement intégré de la petite enfance, les ressources qui lui sont allouées n'ont jamais dépassé le 1% en moyenne. Le sous-secteur de l'éducation de base des jeunes et des adultes n'a jamais obtenu 1% du budget, alors que l'ambition déclarée était de lui affecter 3% du budget conformément aux engagements de l'Etat signé à Bamako en 2007...».
«Les parents d’élèves sont devenus les principaux bailleurs de l’éducation. Du fait du déséquilibre constaté dans la gouvernance du budget de l’éducation, ils supportent encore une bonne partie des dépenses d’éducation publique (plus de 30% depuis PDEF selon un rapport de la COSYDEP publié en 2010 », relate le document.
Il est appréciable que le Sénégal ait atteint 6% du PIB affecté à l’éducation et à la formation. Mais, il faut, «il faut cependant nuancer ce résultat qui doit être évalué à la une du contexte Sénégalais mais aussi de la gouvernance du secteur de l’éducation ».
Selon le document final de position de la société civil sur le financement de l’éducation au Sénégal, «sans une prise en charge sérieuse de l’éducation, gage d’un développement durable, on ne pourra pas faire face à des défis aussi complexe que ceux liés à l’emploi des jeunes, à la condition des femmes, à la crise écologique, aux migrations irrégulières, à la montée de l’insécurité, à de l’extrémisme violent,… ».
Concernant le Sénégal, il est mentionné dans le document que : « 6% du PIB est consacré à l’éducation, à la formation et à la recherche, alors que l’objectif visé était de 8% à l’horizon de 2017 selon les directives présidentielles de 2013. Nonobstant, ces ressources importantes, les besoins en éducation et formation de qualité, restent insatisfaits, entrainant une grande instabilité du système éducatif, l’exclusion et l’abandon de beaucoup d’adultes, d’enfants dont surtout les filles. On note également dans la répartition des ressources entre les sous-secteurs pour le développement intégré de la petite enfance, les ressources qui lui sont allouées n'ont jamais dépassé le 1% en moyenne. Le sous-secteur de l'éducation de base des jeunes et des adultes n'a jamais obtenu 1% du budget, alors que l'ambition déclarée était de lui affecter 3% du budget conformément aux engagements de l'Etat signé à Bamako en 2007...».
«Les parents d’élèves sont devenus les principaux bailleurs de l’éducation. Du fait du déséquilibre constaté dans la gouvernance du budget de l’éducation, ils supportent encore une bonne partie des dépenses d’éducation publique (plus de 30% depuis PDEF selon un rapport de la COSYDEP publié en 2010 », relate le document.
Il est appréciable que le Sénégal ait atteint 6% du PIB affecté à l’éducation et à la formation. Mais, il faut, «il faut cependant nuancer ce résultat qui doit être évalué à la une du contexte Sénégalais mais aussi de la gouvernance du secteur de l’éducation ».
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