Le débat sur la nuisibilité réel ou supposé du Gardasil (vaccin contre le cancer du col de l’utérus) refait surface avec la sortie du Professeur Célestine Furtado qui affirme que ce vaccin peut avoir des effets néfastes sur la santé pouvant même causer la stérilité.
Membre de l’Académie internationale de cytologie de Zurich, Pr Furtado, un Sénégalais vivant en Suisse, met en garde contre l’utilisation du Gardasil lequel est administré aux enfants à partir de neuf (9) ans pour les préserver de cette maladie dans le cadre d’une campagne lancée par le ministère de la Santé et de l’Action sociale du Sénégal.
Selon lui, ce vaccin tant vanté n’éradique pas les risques et serait même «d’une inefficacité remarquable», fait-il remarquer. Avant d’ajouter : «ce vaccin ne concerne que quelques sous-types : le 6, le 11, le 16 et le 18, sachant qu’il y a d’autres sous-types qui peuvent donner le cancer du col de l’utérus et en vaccinant ces jeunes filles, des années plus tard, on a remarqué qu’il n’y a pas une réduction du cancer du col de l’utérus.»
A l’en croire, le vaccin risque même de causer la mutation virale, «sans oublier aussi, les composants chimiques qui sont à l’intérieur de ce vaccin l’aluminium, il y a des nano particules d’aluminium qui peuvent attaquer non seulement le système nerveux, (causer) des troubles : cardiaques, vasculaires, mais aussi des fortes migraines, scléroses en plaques, sans oublier les insuffisances ovariennes, risques de stérilité.»
Pour lui, la meilleure solution pour lutter contre le cancer du col de l’utérus serait «d’aller faire son frotti gynécologique, psychopathologique chaque un ou deux ans », déclare-t-il sur la Rfm.
Membre de l’Académie internationale de cytologie de Zurich, Pr Furtado, un Sénégalais vivant en Suisse, met en garde contre l’utilisation du Gardasil lequel est administré aux enfants à partir de neuf (9) ans pour les préserver de cette maladie dans le cadre d’une campagne lancée par le ministère de la Santé et de l’Action sociale du Sénégal.
Selon lui, ce vaccin tant vanté n’éradique pas les risques et serait même «d’une inefficacité remarquable», fait-il remarquer. Avant d’ajouter : «ce vaccin ne concerne que quelques sous-types : le 6, le 11, le 16 et le 18, sachant qu’il y a d’autres sous-types qui peuvent donner le cancer du col de l’utérus et en vaccinant ces jeunes filles, des années plus tard, on a remarqué qu’il n’y a pas une réduction du cancer du col de l’utérus.»
A l’en croire, le vaccin risque même de causer la mutation virale, «sans oublier aussi, les composants chimiques qui sont à l’intérieur de ce vaccin l’aluminium, il y a des nano particules d’aluminium qui peuvent attaquer non seulement le système nerveux, (causer) des troubles : cardiaques, vasculaires, mais aussi des fortes migraines, scléroses en plaques, sans oublier les insuffisances ovariennes, risques de stérilité.»
Pour lui, la meilleure solution pour lutter contre le cancer du col de l’utérus serait «d’aller faire son frotti gynécologique, psychopathologique chaque un ou deux ans », déclare-t-il sur la Rfm.
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