Les comptes bancaires de Me Ciré Clédor Ly ont été bloqués. C’est l’avocat de Karim Wade et de Khalifa lui-même qui l’a confirmé dans un entretien téléphonique accordé à Seneweb.
«Cela est vrai. Tout ce que je mets dans mes comptes bancaires, ils (les agents judiciaires de l'État) les raflent. Mais, tant mieux. Cela ne m'empêche ni de travailler ni de vivre. Ils n'ont qu'à tout me prendre. Cela ne m'empêchera pas d'être toujours déterminé dans l'intérêt du pays et de celui de l'Afrique. Ces saisis ne m'empêchent ni de dormir ni de travailler normalement », a-t-il déclaré.
L’avocat juge cet acte incompréhensible d’autant plus que, révèle-t-il, «ils parlent d'impôts qui datent de 2010. Et cela a été amnistié par eux-mêmes… C'était 40 millions qu'ils avaient ramenés à 6 millions. Et que, maintenant, ils exécutent à 40 millions depuis un an et quelques. Mais ce n'est pas tout. Même les biens de mes enfants, c'est-à-dire ce qui permettait à ces derniers de travailler, n'ont pas été épargnés. Ils ont fait un redressement pour leur prendre tout ce qu'ils gagnaient sur des revenus que leur maman leur avait laissés. Mais tant pis».
Sur sa lancée, la robe noire pointe un doigt accusateur sur la Cbao qu’il a jugée déloyale envers lui, mais aussi, sur l’Etat, même s’il dit ignorer leurs motivations
«Cela est vrai. Tout ce que je mets dans mes comptes bancaires, ils (les agents judiciaires de l'État) les raflent. Mais, tant mieux. Cela ne m'empêche ni de travailler ni de vivre. Ils n'ont qu'à tout me prendre. Cela ne m'empêchera pas d'être toujours déterminé dans l'intérêt du pays et de celui de l'Afrique. Ces saisis ne m'empêchent ni de dormir ni de travailler normalement », a-t-il déclaré.
L’avocat juge cet acte incompréhensible d’autant plus que, révèle-t-il, «ils parlent d'impôts qui datent de 2010. Et cela a été amnistié par eux-mêmes… C'était 40 millions qu'ils avaient ramenés à 6 millions. Et que, maintenant, ils exécutent à 40 millions depuis un an et quelques. Mais ce n'est pas tout. Même les biens de mes enfants, c'est-à-dire ce qui permettait à ces derniers de travailler, n'ont pas été épargnés. Ils ont fait un redressement pour leur prendre tout ce qu'ils gagnaient sur des revenus que leur maman leur avait laissés. Mais tant pis».
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