
La Commission nationale pour les droits de l’homme en Libye (NHCR) dénonce cette détention « forcée et arbitraire » et en appelle au ministre de l’Intérieur, au Premier ministre et à la mission de l’ONU en Libye pour le libérer dans les plus brefs délais. Elle tient le gouvernement de Tripoli responsable de sa sécurité.
Selon elle, ce sont des membres des services du renseignement qui ont enlevé Walid Elhouderi, fils de l’actuel ambassadeur de la Libye en France et défenseur des droits de l’homme qui est intervenu à plusieurs reprises sur RFI.
La Commission se dit « extrêmement bouleversée » par toutes les exactions qui touchent les civils et les défenseurs des droits de l’homme en Libye. Comme beaucoup d’autres civils libyens Walid Elhouderi a été enlevé sans mandat d’arrêt, est détenu sans aucune raison, et depuis le 1er octobre, il n’a pas été présenté devant le procureur général.
Avec plus de 1600 détenus recensés en 2019, la Libye s’est hissée en tête de la liste noire des pays africains en matière de détention arbitraire et de disparitions.
En mars dernier, la mission de l’ONU à Tripoli a exprimé sa profonde inquiétude face à cette situation et à l’augmentation des exactions contre les civils perpétrés par les forces armées dans une totale impunité.
Selon elle, ce sont des membres des services du renseignement qui ont enlevé Walid Elhouderi, fils de l’actuel ambassadeur de la Libye en France et défenseur des droits de l’homme qui est intervenu à plusieurs reprises sur RFI.
La Commission se dit « extrêmement bouleversée » par toutes les exactions qui touchent les civils et les défenseurs des droits de l’homme en Libye. Comme beaucoup d’autres civils libyens Walid Elhouderi a été enlevé sans mandat d’arrêt, est détenu sans aucune raison, et depuis le 1er octobre, il n’a pas été présenté devant le procureur général.
Avec plus de 1600 détenus recensés en 2019, la Libye s’est hissée en tête de la liste noire des pays africains en matière de détention arbitraire et de disparitions.
En mars dernier, la mission de l’ONU à Tripoli a exprimé sa profonde inquiétude face à cette situation et à l’augmentation des exactions contre les civils perpétrés par les forces armées dans une totale impunité.
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