Selon cette enquête, « en 2008, le pays comptait l’équivalent de 141 chercheurs agricoles à temps plein et consacrait 7,5 milliards de francs CFA (en valeur actuelle) à la recherche et au développement dans l’agriculture. Pendant la plus grande partie des années 1980 et 1990, la dépense publique du Sénégal dans la recherche, en pourcentage de sa production agricole, était l’une des plus élevées de l’Afrique de l’Ouest, mais plus récemment, ce ratio a chuté à des niveaux semblables à ceux des pays voisins. Les chercheurs agricoles du Sénégal restent toutefois parmi les plus qualifiés de l’Afrique de l’Ouest ».
« Au Sénégal, la recherche et le développement publics dans l’agriculture ont été affectés par les réductions intervenues dans leur financement et leur capacité depuis le milieu des années 1980 ».
« L’étude a révélé qu’en 2008, l’ISRA, le principal organisme sénégalais de recherche et développement agricoles, représentait approximativement 70 % de la dépense du pays dans la recherche agricole. En 2008, le budget de l’ISRA atteignait à peine un tiers de celui des années 1980, et ses effectifs de chercheurs plein temps avaient pratiquement diminué de moitié suite à la réduction du financement des bailleurs de fonds et de l’État ».
« Des organismes de recherche agricole bien gérés et disposant de fonds et d’un personnel suffisants sont essentiels pour le progrès des sciences et technologies agricoles et que l’innovation dans l’agriculture est fondamentale pour promouvoir la productivité agricole, stimuler la croissance économique nationale et, en fin de compte, améliorer les conditions de vie de tous les citoyens sénégalais », précise aussi l’étude.
« Au Sénégal, la recherche et le développement publics dans l’agriculture ont été affectés par les réductions intervenues dans leur financement et leur capacité depuis le milieu des années 1980 ».
« L’étude a révélé qu’en 2008, l’ISRA, le principal organisme sénégalais de recherche et développement agricoles, représentait approximativement 70 % de la dépense du pays dans la recherche agricole. En 2008, le budget de l’ISRA atteignait à peine un tiers de celui des années 1980, et ses effectifs de chercheurs plein temps avaient pratiquement diminué de moitié suite à la réduction du financement des bailleurs de fonds et de l’État ».
« Des organismes de recherche agricole bien gérés et disposant de fonds et d’un personnel suffisants sont essentiels pour le progrès des sciences et technologies agricoles et que l’innovation dans l’agriculture est fondamentale pour promouvoir la productivité agricole, stimuler la croissance économique nationale et, en fin de compte, améliorer les conditions de vie de tous les citoyens sénégalais », précise aussi l’étude.
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