« Inouï, scandaleux, consternant, cynique, cruel »... Les candidats à l'élection présidentielle ne manquent pas d'adjectifs pour condamner les propos d'Emmanuel Macron, à l'image de Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national : « Pas les contraindre, ça a été le choix du président. Maintenant, non seulement il les contraint, mais en plus il les insulte. Il est garant de la cohésion nationale et il a oublié cela. Et en faisant cela, il commet non seulement une faute politique, mais une faute morale. »
Un faux pas dans lequel comptent bien s'engouffrer les rivaux du chef de l'État, rapporte Aurélien Devernoix, du service politique de RFI. « Il faudra mettre fin à ce quinquennat du mépris, je veux y mettre fin. Je suis d’ailleurs la seule à pouvoir en terminer avec un président qui, visiblement, ne supporte plus les Français quand ils ne pensent pas comme lui », affirme Valérie Pécresse, candidate de la droite.
Un faux pas dans lequel comptent bien s'engouffrer les rivaux du chef de l'État, rapporte Aurélien Devernoix, du service politique de RFI. « Il faudra mettre fin à ce quinquennat du mépris, je veux y mettre fin. Je suis d’ailleurs la seule à pouvoir en terminer avec un président qui, visiblement, ne supporte plus les Français quand ils ne pensent pas comme lui », affirme Valérie Pécresse, candidate de la droite.
Autres articles
-
Chicago : une fusillade fait au moins 4 morts et 14 blessés
-
Gaza: la Défense civile fait état de 15 morts dans des frappes israéliennes pendant la nuit
-
La «flotte fantôme» sur les mers du monde estimée à 900 navires, selon un amiral français
-
ONU: faute d’argent, le PAM menace de fermer des camps de réfugiés soudanais
-
Au Mali, des djihadistes présumés attaquent des positions de l’armée dans sept villes