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Levée du mot d’ordre à l’UGB : «Nous n’avons été influencés par personne» (Cesl)

Alexandre Mapal Sambou est revenu sur la levée de leur mot d’ordre de grève illimitée décrétée après la mort de Fallou Sène tué par balle le 15 mai dernier. Selon le président de la Coordination des étudiants de Saint-Louis (Cesl), cette décision n’est pas la conséquence d’une quelconque médiation extérieure puisqu’elle a été prise par eux-mêmes après leur assemblée générale.



Levée du mot d’ordre à l’UGB : «Nous n’avons été influencés par personne» (Cesl)
Personne ne nous a influencés dans notre décision de lever notre mot d’ordre de grève illimitée ! C’est en substance l’avis du président de la Cesl qui se prononçait sur les supputations selon lesquelles c’est la médiation d’Oumar Pène qui les a poussés à revenir à de meilleurs sentiments.

«Nous n’avons été influencés par aucun médiateur. Certains disent même que nous avons suspendu le mot d’ordre suite aux interventions d’Oumar Pène et d’un certain Mouhamed Samb du Cadre de la Fédération libérale. Ce sont de fausses informations. Nous avons pris souverainement cette décision en toute responsabilité», déclare M. Sambou dans les colonnes de l’Observateur.

Cependant, souligne-t-il, la suspension de leur mot d’ordre ne met pas fin à la lutte pour que la justice fasse la lumière dans la mort de Fallou Sène dans l’enceinte de l’UGB le 15 mai dernier. D’ailleurs, informe-t-il, la démission des ministres de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye ; de l’Economie des Finances et du Plan, Amadou Ba ; de l’Enseignement supérieur, Mary Teuw Niane, est toujours exigée. Mais en attendant, ils sont déclarés  «persona non grata» dans l’enceinte de l’UGB.
 


Samedi 23 Juin 2018 - 13:02


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