Le Sénégal a perdu deux places dans le classement mondial de la liberté de presse établi chaque année par Reporters sans frontières. Le pays est passé en 2020 de la 47e à la 49e position en 2021.
Ce recul peut être expliqué par certains évènements survenus au cours de l’année. En effet, les journalistes sénégalais se sont vus refuser l’accès à l’Assemblée nationale lors de la levée de l’immunité parlementaire de l’opposant Ousmane Sonko, accusé de « viols répétitifs et de menace de mort ». Sans oublier les cas d’agressions et de violences exercées sur les journalistes par des forces de l’ordre pendant des manifestations.
Le Classement mondial de la liberté de la presse, qui évalue tous les ans la situation de la liberté de la presse dans 180 pays et territoires, montre que « l’exercice du journalisme, principal vaccin contre le virus de la désinformation, est gravement entravé dans 73 des 180 Etats et restreint dans 59 autres, soit au total 73 % des pays évalués », selon l’organisation.
Ces chiffres pour RSF correspondent au nombre de pays classés rouge ou noir sur la carte mondiale de la liberté de la presse, c’est-à-dire ceux dans lesquels le journalisme est dans une “situation difficile”, voire “très grave” et à ceux classés dans la zone orange, où l’exercice de la profession est considéré comme “problématique”.
Le blocage du journalisme, d’après RSF est révélé par les données du Classement qui mesurent les restrictions d’accès et les entraves à la couverture de l’actualité. RSF dit avoir enregistré une dégradation flagrante de l’indicateur sur la question.
Les journalistes sont confrontés à une “fermeture des accès” au terrain comme aux sources d’information, du fait ou au prétexte de la crise sanitaire. Seront-ils d’ailleurs rouverts après la fin de la pandémie, s’interroge RSF qui ajoute que « l’étude montre une difficulté croissante pour les journalistes d’enquêter et de faire des révélations sur des sujets sensibles, en particulier en Asie et au Moyen-Orient, ainsi qu’en Europe ».
Ce recul peut être expliqué par certains évènements survenus au cours de l’année. En effet, les journalistes sénégalais se sont vus refuser l’accès à l’Assemblée nationale lors de la levée de l’immunité parlementaire de l’opposant Ousmane Sonko, accusé de « viols répétitifs et de menace de mort ». Sans oublier les cas d’agressions et de violences exercées sur les journalistes par des forces de l’ordre pendant des manifestations.
Le Classement mondial de la liberté de la presse, qui évalue tous les ans la situation de la liberté de la presse dans 180 pays et territoires, montre que « l’exercice du journalisme, principal vaccin contre le virus de la désinformation, est gravement entravé dans 73 des 180 Etats et restreint dans 59 autres, soit au total 73 % des pays évalués », selon l’organisation.
Ces chiffres pour RSF correspondent au nombre de pays classés rouge ou noir sur la carte mondiale de la liberté de la presse, c’est-à-dire ceux dans lesquels le journalisme est dans une “situation difficile”, voire “très grave” et à ceux classés dans la zone orange, où l’exercice de la profession est considéré comme “problématique”.
Le blocage du journalisme, d’après RSF est révélé par les données du Classement qui mesurent les restrictions d’accès et les entraves à la couverture de l’actualité. RSF dit avoir enregistré une dégradation flagrante de l’indicateur sur la question.
Les journalistes sont confrontés à une “fermeture des accès” au terrain comme aux sources d’information, du fait ou au prétexte de la crise sanitaire. Seront-ils d’ailleurs rouverts après la fin de la pandémie, s’interroge RSF qui ajoute que « l’étude montre une difficulté croissante pour les journalistes d’enquêter et de faire des révélations sur des sujets sensibles, en particulier en Asie et au Moyen-Orient, ainsi qu’en Europe ».
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