Tout a commencé mercredi dernier quand le gouvernement provisoire de l'est libyen, non reconnu par la communauté internationale, a pris une décision imposant à tout avion civil de l'ouest libyen, venant de Tripoli ou de Misrata, et traversant l’espace aérien à l’est d’atterrir à Benghazi avant de poursuivre son chemin.
Cette décision concerne la liaison avec quatre pays alliés du maréchal Khalifa Haftar. Il s'agit de la Jordanie, de l'Égypte, de l'Arabie Saoudite et du Soudan. Une décision prise « pour des raisons sécuritaires », ainsi que les autorités de l'est libyen se justifient.
Ce jeudi, un avion partant de Misrata pour rallier la Jordanie s’est vu obligé d'atterrir à Benina avant de poursuivre son chemin. L'identité des voyageurs a été contrôlée par la sécurité de l'est libyen. Cette décision a provoqué un tollé à l'ouest. Le gouvernement Fayez Sarraj a dénoncé cette mesure qui « multiplie les souffrances des voyageurs » et menace leur sécurité.
Plusieurs observateurs trouvent que c’est là une façon d'exercer des pressions sur les milices de l'ouest, qui combattent les forces de Khalifa Haftar. Mais ces milices ont également leur mot à dire : ce dimanche, alors qu'un avion civil de l'est faisait une escale technique à Misrata, on lui a interdit de repartir. Le gouvernement provisoire de l'est a réagi en menaçant de prendre des mesures, sans préciser leur nature.
Cette décision concerne la liaison avec quatre pays alliés du maréchal Khalifa Haftar. Il s'agit de la Jordanie, de l'Égypte, de l'Arabie Saoudite et du Soudan. Une décision prise « pour des raisons sécuritaires », ainsi que les autorités de l'est libyen se justifient.
Ce jeudi, un avion partant de Misrata pour rallier la Jordanie s’est vu obligé d'atterrir à Benina avant de poursuivre son chemin. L'identité des voyageurs a été contrôlée par la sécurité de l'est libyen. Cette décision a provoqué un tollé à l'ouest. Le gouvernement Fayez Sarraj a dénoncé cette mesure qui « multiplie les souffrances des voyageurs » et menace leur sécurité.
Plusieurs observateurs trouvent que c’est là une façon d'exercer des pressions sur les milices de l'ouest, qui combattent les forces de Khalifa Haftar. Mais ces milices ont également leur mot à dire : ce dimanche, alors qu'un avion civil de l'est faisait une escale technique à Misrata, on lui a interdit de repartir. Le gouvernement provisoire de l'est a réagi en menaçant de prendre des mesures, sans préciser leur nature.
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