Les Lougatois s’inquiètent de la criminalité qui s’installe dans leur ville qui, d’antan était réputée pour son calme. Selon cet habitant du quartier Artillerie, les nouveaux quartiers périphériques y sont pour quelque chose : «Avec la propension des quartiers périphériques, tout a été chamboulé. Parce que ces quartiers périphériques, notamment Médina Salm, Touba Séras etc. sont les niches des brigands passionnés de chanvre indien. C’est le point de départ de toutes les expéditions délictuelles au niveau de la ville de Louga».
L’homme, sous couvert de l’anonymat, s’exprimant sur Sud fm est d’avis que l’inaccessibilité de ces zones pose problème à la police qui ne peut pas y faire de descentes : «Ces zones sont extrêmement difficiles d’accès pour les forces de l’ordre, parce que non éclairées, et les bandits y sont difficilement repérables dans le labyrinthe. Ils sont assurés de ne pas être inquiétés par la police, alors ils en font leur chasse gardée. Ils ont changé l’image calme de la ville de Louga».
A cela s’ajoute le manque de ressources matérielles et humaines de la police qui ne dispose que d’un seul commissariat : «Un seul commissariat de police ne suffit pas, mais aussi, les policiers sont en nombre insuffisant. Moins de trente agents pour une population de 120 000 habitants, c’est loin de pouvoir faire l’affaire. Et ils ne disposent ni de moyens humains, ni de logistique», a-t-il affirmé
Les signes les plus significatives de l’installation de la criminalité dans la capitale du Niambour sont l’assassinat d’un taximan, poignardé à mort il y a moins de deux semaines dans le quartier Santhiaba Guiaw Rail ; une fille violée, puis tuée, abandonnée dans un bâtiment en sentier, un jeune poignardé au cours d’une bagarre dans une maison close… »
L’homme, sous couvert de l’anonymat, s’exprimant sur Sud fm est d’avis que l’inaccessibilité de ces zones pose problème à la police qui ne peut pas y faire de descentes : «Ces zones sont extrêmement difficiles d’accès pour les forces de l’ordre, parce que non éclairées, et les bandits y sont difficilement repérables dans le labyrinthe. Ils sont assurés de ne pas être inquiétés par la police, alors ils en font leur chasse gardée. Ils ont changé l’image calme de la ville de Louga».
A cela s’ajoute le manque de ressources matérielles et humaines de la police qui ne dispose que d’un seul commissariat : «Un seul commissariat de police ne suffit pas, mais aussi, les policiers sont en nombre insuffisant. Moins de trente agents pour une population de 120 000 habitants, c’est loin de pouvoir faire l’affaire. Et ils ne disposent ni de moyens humains, ni de logistique», a-t-il affirmé
Les signes les plus significatives de l’installation de la criminalité dans la capitale du Niambour sont l’assassinat d’un taximan, poignardé à mort il y a moins de deux semaines dans le quartier Santhiaba Guiaw Rail ; une fille violée, puis tuée, abandonnée dans un bâtiment en sentier, un jeune poignardé au cours d’une bagarre dans une maison close… »
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