Chasser le naturel, il revient au galop. Cette expression se vérifie dans cette affaire de coups et blessures volontaires impliquant un repris de justice notoirement connu à Louga : N. Diop.
Selon nos confrères de Seneweb, le prévenu condamné à deux ans de prison pour, entre autres délits, détention d'arme sans autorisation administrative, a crevé l'oeil droit de son grand-frère avec une machette.
La victime munie d'un certificat médical d'une Incapacité de travail (Itt) de 30 jours, a porté plainte contre lui au niveau du commissariat central de Louga. «[...]. La nuit des faits, déclare-t-il, je me trouvais derrière la fenêtre
[de la chambre de mon petit-frère], avec des amis. Nous discutions allégrement et à notre grande surprise, il s'est mis à nous injurier, nous demandant de nous taire.»
L'accusateur de poursuivre : «Mes amis, qui ne voulaient pas de problème, se sont dispersés. Le sachant belliqueux, je ne lui ai pas adressé la parole, mais je suis resté sur place à écouter des chansons religieuses. Armé d'un coupe-coupe, il est sorti de sa chambre pour me demander de me taire. Je lui ai rétorqué qu'il est trop petit pour m'imposer son diktat.»
À en croire le plaignant, son protagoniste «sème la terreur dans la maison» et «tous les membres de la maison ont peur de lui».
Il embraye : «Mon neveu s'est interposé. [...]. C'est ainsi que [l'accusé] est retourné dans sa chambre. Cependant, il est ressorti quelques minutes après. Armé d'une machette, il m'a surpris par derrière pour viser ma tête. J'ai esquivé le coup et l'arme m'a crevé l'oeil droit. Je suis devenu borgne à cause de lui.»
Attrait à la barre du Tribunal de Louga, N. Diop a reconnu partiellement les faits, arguant que «[son] grand-frère, ivre mort, cognait [s]a tête contre le mur, en proférant des injures à son encontre». Il n'a fait que riposter, se défend-il.
«Ne pouvant supporter ces injures, je suis sorti de ma chambre pour lui dire que je devrais me coucher tôt pour pouvoir aller au travail le matin de bonne heure. A ma grande sur-prise, dès qu'il a senti ma présence, il s'est rué sur moi avec son arme. J'ai esquivé son coup et j'ai riposté. Il voulait me tuer.»
Pas convaincu, le maître des poursuites lui a fait savoir «qu'il devrait s'amender au lieu d'essayer de tirer la couverture sur lui» avant de requérir une peine de deux ans ferme.
Selon nos confrères de Seneweb, le prévenu condamné à deux ans de prison pour, entre autres délits, détention d'arme sans autorisation administrative, a crevé l'oeil droit de son grand-frère avec une machette.
La victime munie d'un certificat médical d'une Incapacité de travail (Itt) de 30 jours, a porté plainte contre lui au niveau du commissariat central de Louga. «[...]. La nuit des faits, déclare-t-il, je me trouvais derrière la fenêtre
[de la chambre de mon petit-frère], avec des amis. Nous discutions allégrement et à notre grande surprise, il s'est mis à nous injurier, nous demandant de nous taire.»
L'accusateur de poursuivre : «Mes amis, qui ne voulaient pas de problème, se sont dispersés. Le sachant belliqueux, je ne lui ai pas adressé la parole, mais je suis resté sur place à écouter des chansons religieuses. Armé d'un coupe-coupe, il est sorti de sa chambre pour me demander de me taire. Je lui ai rétorqué qu'il est trop petit pour m'imposer son diktat.»
À en croire le plaignant, son protagoniste «sème la terreur dans la maison» et «tous les membres de la maison ont peur de lui».
Il embraye : «Mon neveu s'est interposé. [...]. C'est ainsi que [l'accusé] est retourné dans sa chambre. Cependant, il est ressorti quelques minutes après. Armé d'une machette, il m'a surpris par derrière pour viser ma tête. J'ai esquivé le coup et l'arme m'a crevé l'oeil droit. Je suis devenu borgne à cause de lui.»
Attrait à la barre du Tribunal de Louga, N. Diop a reconnu partiellement les faits, arguant que «[son] grand-frère, ivre mort, cognait [s]a tête contre le mur, en proférant des injures à son encontre». Il n'a fait que riposter, se défend-il.
«Ne pouvant supporter ces injures, je suis sorti de ma chambre pour lui dire que je devrais me coucher tôt pour pouvoir aller au travail le matin de bonne heure. A ma grande sur-prise, dès qu'il a senti ma présence, il s'est rué sur moi avec son arme. J'ai esquivé son coup et j'ai riposté. Il voulait me tuer.»
Pas convaincu, le maître des poursuites lui a fait savoir «qu'il devrait s'amender au lieu d'essayer de tirer la couverture sur lui» avant de requérir une peine de deux ans ferme.
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